RE
Merci pour vos réponses,
Il semble que plusieurs facteurs entrent en jeu :
- le réglage de la hauteur de pointe (j'usine sur tour CN donc facteur minoritaire à priori

)
- porte à faux de la pièce (flexion/vibrations)
- inclinaison de l'arrête de coupe (si inclinaison il y a, plus petit le téton sera...)
- la vitesse d'avance réduite en fin de tronçonnage (Cf ikuriña)
A propos de ce dernier point, j'interprète personnellement tel que :
- plaquette large = effort de coupe plus élevé = risque de rupture important avant la fin du tronçonnage
- plaquette peu large = effort de coupe plus faible = risque de rupture moins élevé avant la fin du tronçonnage
Mon interprétation vous semble correcte ?
Au fait, comment vous y prenez vous pour tronçonner une pièce particulièrement longue (maintenue par une contre-pointe par exemple) ?
Dans la mesure du possible, on peut utilisez une lunette à 3 galets ?
Avez-vous d'autres conseils à ce sujet ?
Merci !