Bonjour,
@bonhumeur50 :
* changement de tactique pour le poinçon? trop de jeu dans le vérin à la longue, et non récupérable,,,
* j'en suis toujours au système glissière à queue d'aronde, mais j'ai prévu des fins lardons en bronze pour faciliter le glissement et je les change par 2 le côté démontable permet de nettoyer la vieille huile, et autres misères,et de régler le jeu utile, ( le moins possible) pour un fonctionnement sans trop d'effort,,
* Le système à piston est valable, mais il faut prévoir une douille fendue de guidage autour de la tige un peu comme les mandrins de Dremel, ou le système à pinces comme les défonceuses et reprendre le jeu régulièrement avec une douille à ergots par exemple
* Cela se fait bien sur les machines à soufflage de plastique pour les flacons autant l'employer,,
* C'est vrai que cela élimine le compresseur que s'il est dans la pièce c'est énervant à la fin et déstabilisant quand on as besoin de calme,,
@dom de mons
* as tu des retours sur ton système de valves pour l'orgue que tu construisait ?
* cela devait être valable, mais mon soucis restera la peau que j'emploie de moins en moins au profit du Polypel, qui est une feuille synthétique de 0,1 mm et qui se travaille très bien à la coupe et au collage,,
*donc imputrescible, pas de veine qui font tourmenter la soupape et créer des fuites,,,
* c'était le cas du système Erman, , employé par Michel Fischer, et il employait une colle qui ne contenait pas d'eau ( araldite,,)
*J'ai vu ses orgues et ceux de Josepha qui fonctionnaient sans soucis alors que d'autres s'en plaignaient,,
* Ils y ajoutaient des petits poids au bout du guide qui dépassaient en dessous,,,
* Pas mieux cela n'ouvraient plus la valve bien souvent et pas de ressort!!,
* Je suis contre les ressorts, rarement identiques en force et quand cela casse , c'est démontage et déréglage assuré,,
* on est sur un système antagoniste, un qui contrarie l'autre
*Tout venait de la colle blanche qui contient de l'eau et qui se diffusaient dans la peu par les veines, chaud, froid et cela se tordait,,
*Gavioli en 1895 à la mise en service du système de lecture par cartons perforés et aiguilles de lecture, montaient ses soupapes en demi sphériques et avec un lest au dessus de la barrette,,
* le sommier était recouvert de papier épais genre Canson ,pour obtenir une étanchéité certaine,,,
*le lest a été ajouté par après à cause le la pression de 300 mm de colonne d'eau ,
* la soupape avait tendance à se soulever et l'air passer dans la gravure pour passer à l'échappement
*il y a 2 ou 4 petits trous pour cela qui dans le système Gavioli une soupape extérieure vient fermer ces trous à la levée de la soupape par la boursette,
* de là , à ce que les constructeurs amateurs me disent que l'échappement ne sert à rien,,,
* il n'y en a pas sur les sommiers allemand par exemple( Walckiers 1ere génération, il yen aura par après,,Walckiers copié par Decap notamment)
*je me pose des questions dont j'ai trouvé la réponse :
*c'était aussi pour la netteté des notes jouées et non liées,
* pour vider les soufflets aussi dans le cas des accordéons à traction pneumatique
*pour éviter que les tuyaux sur tables alimentés constamment où il n'y a pas de registres de fonctionnement (notamment les basses et les accompagnements) qu'on entende un feulement des soupapes très légèrement ouvertes, à cause de non débit de vent, et la pression de l'air constant dans le réservoir et à son maximum entre 2 cartons à jouer, on n'arrête pas la production de vent à chaque carton sur un gros orgue,,,
* 3 raisons pour ne pas le négliger,,,
A ++