Le vrai bronze c'est un aliage de cuivre et d'étain contrairement au laiton qui est un aliage de cuivre et de zinc. Après tu peux trouver du bronze avec du cuivre du zinc et même de l'alu et du plomb.
Le vrai bronze c'est un aliage de cuivre et d'étain contrairement au laiton qui est un aliage de cuivre et de zinc. Après tu peux trouver du bronze avec du cuivre du zinc et même de l'alu et du plomb.
Bronze = cuivre + etain
mais attention une appélation "bronze d'art" existe... de mémoire elle est employé (à tord) pour tout les alliages d'art contenant plus de 50% de cuivre...
en ce qui concerne la fabrication des canons, c'est malheureusement l'un des savoirs perdus de la fonderie.... le noyau de fut était à l'origine un arbre recouvert de sable, argile et crotin et poil de cheval (qui brûle lors de la coulée et amméliore la perméabilité donc l'évacuation des gaz)
mais personne ne se rappelle comment éviter qu'avec le retrait volumique le canon se fende dans le sens de la longueur lors du refroidissement (à mon avis il faut faire de profondes saignés de part en part du noyau pour le "dérigidifier" artificiellement)
Rm résistance max (rupture) en MPa
Rp 0,2 résistance pratique à 0,2% d'allongement (équivalent de la limite d'élasticité) toujours en MPa
HB dureté en Brinell
A % d'allongement max (fin du domaine elastique)
Le dernier argument des rois. – – Ultima ratio regum.
Devise qu’il fit graver sur ses canons.
Citations de Louis XIV le Grand
j'ai vu des canons de cette époque et je m'étais posé une question :
il y a sur ces canons ou plutôt à l'intérieur des stries hélicoïdales
les canons sont sans culasses donc le fut n'est pas débouchant ; comment étaient usinées ces stries?
Samedi 17 Décembre: Pushkar
Visite de la forteresse de Jaigarth qui n'a rien de particulier par rapport aux autres (créneaux et murailles comme d'hab) si ce n'est qu'elle renferme le plus gros canon du monde (50 tonnes) qui nécessitait quatre éléphants pour le déplacer. Tout comme la forteresse, il n'a jamais servi (sauf pour son tir d'essai), le maharadjah étant pote avec le big boss Akbar.
Il a été fabriqué par la fonderie du fort en 1720. Le fût du canon est de 6 mètres de long pour un poids de 50 tonnes. Il n'aurait été utilisé qu'une seule fois et son boulet aurait atterri 35 km plus loin mais les spécialistes pensent qu'il aurait servi plusieurs fois.
Cet été j'ai visité les forges royales de Guerigny, on y voit justement comment était fait les futs de canon.
Un noyau en bois (pas forcement d'un bloc) autour duquel étaient enroulées des cordes, puis un enduit par dessus. Les stries hélicoïdales proviennent surement de la.
Cet été j'ai visité les forges royales de Guerigny, on y voit justement comment était fait les futs de canon.
Un noyau en bois (pas forcement d'un bloc) autour duquel étaient enroulées des cordes, puis un enduit par dessus. Les stries hélicoïdales proviennent surement de la.
ils avaient une fraise qu'ils passaient à l'intérieur. comme pour un canon de carabine !
il y a eu une première école avec un mandrin et on coulait le bronze autour, puis on a coulé à plein et percé ensuite !
Bonjour,
J'ai à disposition quelques tabelles de l'usine Swissmetal de Reconvilier (Jura bernois-Suisse); format A0 environ
Ces tabelles sont un récapitulatif détaillé des alliages cuivreux élaborés dans cette entreprise.
Composition chimique, coefficient d'usinabilité, cas d'utilisation, etc.
Y a-t-il une adresse où envoyer ce genre de chose, si intérêt de la part de quelqu'un ?
Meilleures salutations et à peluche.
La Grenouille
Peut être que tu pourrais en faire une photo haute définition en posant la planche sur le sol et en te mettant le plus au dessus possible. Ce serait interressant de voir tes planches de plus prêt.
Biensûr ensuite si tu peux mettre ces photos sur ce post, ce sera avec plaisir que je les regarderai de prés.
J'ai lu qu'on doit mettre le moins fusible en premier (cuivre ici) et une fois fondu on rajoute les éléments du mélange du moins fusible au plus fusible (pour du bronze à canon l'étain)
si tu es chaud pour introduire des charges solide dans du métal en fusion c'est que tu es un peu "bargo" de plus imagine qu'une des charge soit humide ou huileuse (ou corodée)...
Je procède de cette manière déjà pour l'alu simple et vu que le métal prend plus de place que le liquide on est bien obligé
de recharger régulièrement le creuset si il est petit...
sauf à faire un remplissage en double creuset tête bêche mais c'est pas pratique ni utile pour mon usage..
De toute façon le préchauffage des lingots est une pratique courante normalement obligatoire en fonderie justement pour éviter les problèmes que tu cites donc je ne vois pas de soucis.
Rm résistance max (rupture) en MPa
Rp 0,2 résistance pratique à 0,2% d'allongement (équivalent de la limite d'élasticité) toujours en MPa
HB dureté en Brinell
A % d'allongement max (fin du domaine elastique)
juste pour apporter quelques correctifs à la réponse de ponpon:
Rm : résistance max mais pas obligatoirement (voir d'ailleurs peu souvent sur la majorité des alliages et métaux) à rupture. Cette valeur est à la striction (diminution localisée de section)
A% Allongement à rupture (et non fin du domaine élastique; sur certains aciers doux la différence peut être de 40% en absolue).
les solides sont posés en bord de four pour une montée en température et élimination d'humidité avant chute dans le creuset, enfin je voyais cela comme ça de ma fenêtre !
pardon de poser une question bête, mais dans le cas d'une fonte unique, pouquoi ne pas fondre directement dans le moule, plâtre réfractaire trop fragile (en température) ? car pour le sécher il doit prendre de toute façon 750° si je vous ai bien lu ! il ne resisterait pas à 1400° ?
pas exactement comme ça mais on pourrait utiliser ton idée en faisant une partie du moule (disons une cavité "pré-moule") où on chaufferait l'alu qui une fois liquide irait remplir le moule par gravité...
mais les lingots prennent de la place et c'est pas évident comme technique...
Bonjour,
juste pour apporter quelques correctifs à la réponse de ponpon:
Rm : résistance max mais pas obligatoirement (voir d'ailleurs peu souvent sur la majorité des alliages et métaux) à rupture. Cette valeur est à la striction (diminution localisée de section)
A% Allongement à rupture (et non fin du domaine élastique; sur certains aciers doux la différence peut être de 40% en absolue).
Oups ! faute d'inatention... merci pour la correction
il faut préciser que si on prend le A% jusqu'a striction, on doit prendre égalemnt le RM jusqu'a striction
on peut également fonctionner par rapport Force/Section constant mais là il y a des petites manipulation à faire
pour le creuset et le chargement si tu n'as pas le choix continue comme cela mais fait bien attention aux projections
le préchauffage des charges est loin d'être systémétique dans l'industries (il est même quasi existant dans bon nombre de fonderie avec four à induction ou à arc)
fondre dans les moule engendre des défauts de surfance de type gerces, "queue de rat" (et ou ça existe) et des galles