FARMAN
Apprenti
Bonjour,
Comme j'ai entamé mon soixante douzième tour du Soleil, j'ai décidé d'épargner mes articulations.
Et grimper un escalier avec une boite de vitesses dans les bras ce n'est pas plus raisonnable que de le descendre la tête en avant !
Donc un ascenseur s'imposait . C'est désormais chose faite:
État initial:
D'abord une mezzanine:
Puis quatre montants en tube carrés auxquels j'ai soudé quatre omégas pour le guidage de la plateforme. Chaque angle de la plateforme porte deux roues de skate dont les axes sont perpendiculaires:
Un cylindre sert de tambour d'enroulement pour les câbles:
Deux poulies avec étriers antidéraillements servent de renvois:
Un motoréducteur assure l'entrainement du tambour avec interposition d'un flector:
Il est équipé sur sa partie supérieure d'un frein à disque à commande électromagnétique. C'est indispensable car malgré le réducteur à vis sans fin, une charge lourde est capable d'entrainer le moteur quand il n'est pas alimenté .
Des fins de course à déclenchement et réarmables limitent le mouvement:
Une commande à boutons fugitifs assure montée /descente/ "homme mort". Elle est dotée d'un câble suffisamment long pour être utilisée en haut et en bas sans se trouver obligatoirement sur la plateforme. A deux, on obtient alors un monte-charge efficace.
Une armoire regroupe le câblage ( en triphasé):
Pour ne pas risquer de se trouver coincé sur la mezzanine en cas de coupure EDF, un onduleur est prêt à assurer l'intérim :
Ça soulève 5000 N sans problème avec arrêt instantané à la montée et à la descente.
Je ne l'ai pas bêtement surchargé pour vérifier les capacités max ...
L'ascension et la descente durent six secondes pour une course de trois mètres quelle que soit la charge. Un démarrage et un arrêt progressifs seraient les bienvenus...
Comme j'ai entamé mon soixante douzième tour du Soleil, j'ai décidé d'épargner mes articulations.
Et grimper un escalier avec une boite de vitesses dans les bras ce n'est pas plus raisonnable que de le descendre la tête en avant !
Donc un ascenseur s'imposait . C'est désormais chose faite:
État initial:
D'abord une mezzanine:
Puis quatre montants en tube carrés auxquels j'ai soudé quatre omégas pour le guidage de la plateforme. Chaque angle de la plateforme porte deux roues de skate dont les axes sont perpendiculaires:
Un cylindre sert de tambour d'enroulement pour les câbles:
Deux poulies avec étriers antidéraillements servent de renvois:
Un motoréducteur assure l'entrainement du tambour avec interposition d'un flector:
Il est équipé sur sa partie supérieure d'un frein à disque à commande électromagnétique. C'est indispensable car malgré le réducteur à vis sans fin, une charge lourde est capable d'entrainer le moteur quand il n'est pas alimenté .
Des fins de course à déclenchement et réarmables limitent le mouvement:
Une commande à boutons fugitifs assure montée /descente/ "homme mort". Elle est dotée d'un câble suffisamment long pour être utilisée en haut et en bas sans se trouver obligatoirement sur la plateforme. A deux, on obtient alors un monte-charge efficace.
Une armoire regroupe le câblage ( en triphasé):
Pour ne pas risquer de se trouver coincé sur la mezzanine en cas de coupure EDF, un onduleur est prêt à assurer l'intérim :
Ça soulève 5000 N sans problème avec arrêt instantané à la montée et à la descente.
Je ne l'ai pas bêtement surchargé pour vérifier les capacités max ...
L'ascension et la descente durent six secondes pour une course de trois mètres quelle que soit la charge. Un démarrage et un arrêt progressifs seraient les bienvenus...