Merci de vos avis. cela me conforte dans ma méthode, bien qu'elle comporte des insuffisances.
Le gabarit consitue effectivement un problème de par son épaisseur , les angles à respecter lors de la mesure et les erreurs de circularité qu'il est susceptible de comporter.
L'ébauche du gabarit a été réalisée avec un compas à la défonceuse. Les erreurs résiduelles ont été éliminées au maximum par déplacement du gabarit sur 2 formes concaves de même rayon de courbure jusqu'à élimination des interstices quelque soit la position relative des formes entre elles.
Il serait sans doute meilleur de le réaliser en métal et en tout cas plus durable, mais cela nécessitera que je m'équipe d'autres outils.
Le seul moyen que j'ai trouvé de contrôler le voile est de vérifier que des points caractéristiques symétriques avaient la même altitude.
Dans un premier temps, j'avais réalisé un gabarit cylindrique en bois (en arrière plan) qui ne m'a pas permis d'atteindre mon objectif .
Le moule plein (également en arrière plan) sert uniquement à vérifier les formes des éclisses et à faire le tracé initial de ligne d'intersection entre les éclisses et la table et ne peut plus être utilisé à cette étape.
Une autre solution aurait été de faire réaliser une portion de cylindre R300 sur une rouleuse, et de contrôler les points de contacts de la pièce par rapport à la forme, mais la question de la validité du gabarit reste là.
Concernant la précision, dans le cas de joints plans, on tend à ce que la lumière ne passe plus entre la pièce et celle qui vient en regard.
Par exemple, pour un joint de table, aucun rai de lumière n'est admis.
dans tous les cas, on doit être en deça de l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette.
Dans le cas présent, cette mesure n'est pas possible.
on est donc réduit à faire des hypothèses en faisant des mesures selon les deux axes perpendiculaires.
Je vais reparcourir les posts relatifs aux moyens optiques de contrôle pour évaluer comment je pourrai l'appliquer à ce type de vérification.
Bonne soirée