Bonjour à tous,
Je vois que moissan a bien compris comment cela fonctionne
papeteme a dit:
Bonjour,
Eh bien décidément , Brise copeaux nous ne serons jamais d’accord. Et pourtant, nous connaissons tous les deux ces embrayages Multi-disques. En plus d’avoir été amené à dépanner un AMC Elan,( certes plus petit que ton monstre de 14 mètres) comme Copeaux 78 j’ai été amené à intervenir sur des engins lourds( les boites Powerschift des tracteurs forestiers ou des grues automotrices).
Tu réfutes mon exemple de coupleurs de circuits hydraulique comme exemple d’une application dans laquelle, des billes disposées en couronne, par leurs déplacements radiaux influent sur deux pièces mobiles axialement, à savoir le clapet interne et la bague extérieure du coupleur.
En réponse, je ne peux que t’inviter à nous proposer un meilleur exemple plus parlant qui te satisfasse.
Salut,
bien sûr tout comme toi que je connais ses embrayages, il y en a de multitudes de sortes basés sur se principe mais toi tu fais référence au coupleur hydraulique, un coupleur hydraulique c'est plus progressif qu'un embrayage mécanique donc ça rien a voir, une machine outil n'a pas besoin d'avoir d'une tel progressivités juste un peu pour lancer la broche, tu en fais tout un monde pour cette embrayage mécanique c'est bien plus simple que ça.
Sur tout les Cazeneuve H.B. à partir et aux dessus du modèle 725 sons tous équipé de se type d'embrayage
papeteme a dit:
Tu écris : ''D'une part l'avancement est très minime c'est moins d'un millimètre, entre le commencement ou le disques sons en contact"donc glissement" et la compression finale"donc verrouillage par billes" il n'y a pas plus d'un millimètre.''
Là, je ne peux pas du tout être d’accord avec toi car tu es en contradiction avec la demande de brevet que nous avons sous la main dans le lien Ressource……….. ;et aussi avec la documentation commerciale des embrayages Sigma qui a circulé sur le forum quand JF remontait son Socomo.
Il faut se reporter aux images 2-3-4 de la demande de brevet où sont clairement représentées les 3 étapes successives du déplacement du manchon baladeur. En début de déplacement, les billes sont encore complètement en dehors de la gorge dans laquelle elles vont pénétrer. Le déplacement sera donc au moins égal au diamètre des billes ! !
Je partage ton expression de course d’un millimètre seulement si tu parles du serrage en final
Bien sûr qu'il y a ses 3 étapes, ce que je voulais dire c'est que l'opérateur ne le sens pas il ressent que la dernière, celle ou il pousse a fond pour verrouiller le baladeur...un peu comme tu dit une pince étau.
papeteme a dit:
Au sujet du manchon, il s’agit du manchon baladeur actionné par la fourchette. Tu parles d’une bille supplémentaire qui verrouillerait le manchon baladeur ; en fait pour moi non, ce sont les billes de la couronne qui, du fait de la poussée venant de l’empilage tendent à ressortir de la gorge et de ce fait immobilisent le manchon baladeur. Ce principe est très bien montré sur la figure 4 de la demande de brevet et un diagramme avec les forces en présence représentées par des flèches démontre le fonctionnement. Cet auto maintien sans réversibilité vers la commande est très important, car contrairement à ce qui se passe dans une boite de vitesse, il y a un effort axial important.
Sur les Cazeneuve il n'y a pas de bille de positionnement du baladeur c'est juste la fourchette qui à 3 positions indexé par billes, le baladeur lui est maintenu en position par les billes qui pousse la douille, sur le tour allemand dont je parle il y a bien 3 billes de positionnement du baladeur, donc chaque fabricant apporte son petit truc.
en fait pour moi non, ce sont les billes de la couronne qui...
Ou tu vois une couronne, non les billes sons sous le baladeur on les maintient avec de la graisse au moment du montage du baladeur il n'y a pas de couronne, quand à l'effort pour déplacer le baladeur est minime faut pas non plus exagéré, bien sûr c'est l'inverse d'une boite de vitesses auto puisque la fourchette pousse un pignon quand l'embrayage sépare la boite du moteur..il faut bien se mettre dans la tête que le baladeur ne pousse pas sur les disque mais sur les billes donc pas tant d'effort que ça.
papeteme a dit:
Tu dis que c’est la même chose dans le cas des embrayages multi-disques à commande pneumatiques et hydrauliques, je dirais oui MAIS.( J’exclus l’électromagnétique parce que je ne vois pas duquel tu veux parler.)
Le MAIS que j’ai introduit a, à mes yeux une grande importance parce que c’est là que ce système trouve toute son astuce, son génie qui me laisse admiratif. Dans les embrayages que Copeaux 78 et moi avons évoqués en engins lourds, le serrage fait par pression d’huile est constant sur toute la course d’utilisation normale de l’embrayage. L’usure des disques ne modifie pas le serrage et le besoin d’énergie ne vient pas du conducteur. La réalisation en plus est relativement aisée : joints tournants et arbres forés amènent le fluide sous pression aux’’ vérins ‘’ d’embrayage
Tu confonds les deux systémes, bien sûr celui hydraulique est plus performant par se qu'il compense en permanence l'usure des disques, mais sur un type Sigma c'est le flasque "toi tu l’appel piston" réglable qui compense l'usure mais faut le régler tout les 3à5 ans.
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Pour ce qu'est de l'embrayage électromagnétique puisque tu n'a jamais vu, c'est l'ancêtre du copieur hydraulique, sur certain tour on peux enclencher le trainard et le transversal en même temps, mais l'accouplement des vis se fait par l'intermédiaire d'un embrayage électromagnétique que eux sont impulser par un palpeur électrique qui suit une forme, on appel ça a contact carré, ici c'est des impulsions électriques qui pousse un noyau ferrite et qui pousse sur les disques.
Si tu veux je peux essayer de faire un petit croquis pour comprendre la chose.