pour l’hydraulique, j'aurais tendance, peut être a tord, a me dire que toutes les huile fluide font le taf, une huile étant incompressible elle transmettra donc forcement le mouvement sans l'altérer.reste les histoire d'additif utile pour les pignon mais pas forcement pour un verin. du coup huile hydro sans additif, et huile de boite avec additif par exemple.
pour le reste, comme ma question sur l'autre post, je veut bien savoir aussi se qui différencie une huile de coupe d'une huile de lubrification.que faut il a l'un qu'il ne faut pas a l'autre et inversement.
Comme bon nombres des pompes hydrauliques sont à engrenages, on revient au point de départ :
Pourquoi faire une distinction entre "huile hydraulique" et "huile de boite ou de transmission" ?
Autrement dit, si une huile hydraulique sans additifs passe sans interruption dans une pompe à engrenages fortement sollicités, pourquoi utiliser des additifs "top secrets" pour une huile de boite et pas pour hydraulique ?
Concernant l'huile de coupe, c'est au niveau des additifs : du phosphore porté à température bouffe l'acier (et d'où l'histoire des bronzes). Elle permet de "nettoyer" les particules de métal qui se "soudent" lors des contacts sous pression. Donc utilisée sur une fraise, peut-être que cela attaque l'acier à outil. De plus, elles sont lubrifiante, donc à moins de travailler en avalant, chaque pénétration de la dent sera contrainte de casser le film d'huile avant de pénétrer dans la matière à usiner. (C'est ce que je CROIS avoir compris en tout cas ...)
Mais du coup c'est vrai qu'on peut se demander : Pourquoi ne pas utiliser une huile lubrrifiante SANS additifs pour la coupe ?!
Déjà, il doit y avoir une différence au niveau de la résistance à la pression (au cisaillement du film), pour le reste
Bah pour moi, ne sachant pas plus, la résistance à la pression et la résistance au cisaillement sont deux choses différentes :
La résistance au cisaillement c'est tout bêtement la viscosité de l'huile. (Oui, l'unité de cette grandeur physique exprime cela)
Donc une huile 32 sera moins performante qu'une 230. Moins lubrifiante en faite.
Mais une huile 230 ne sera pas utilisable dans des applications à grandes vitesses car trop visqueuse.
D'une certaine manière, l'huile utilisée doit être la plus visqueuse possible en tenant compte des contraintes mécaniques divers. (circulation, force centrifuge, anti-bulles, ...).
Je croyais que l'huile était en fait une huile x de base à laquelle on ajoutait un "savon"/durcisseur (ou je ne sais quoi) + ou - visqueux pour déterminer la viscosité. D'une certaine manière comme la graisse ... Enfin peut-être que c'est le cas en fait,
je n'en sais pas plus.
Mais comme le pouvoir de tenu au cisaillement EST exprimé par la viscosité, ...
La résistance à la pression (hydraulique à 200bars ou usage sous pression-atmosphèrique normal), je n'en sais pas plus...
C'est ce que je croyais/croit aussi : Qu'il y a besoin d'une huile spécifique pour la tenue sous forte pression. Mais comme dit, les huiles sont (en principe?)des fluides Newtonniens, donc incompressible ... donc je ne sais pas...
Et pour être bien sûr de vous mélanger les méninges, il existe des huiles universelles.
Oui, en plus moins chère !

Ce qui confirmerait que la différenciation des spécifications ne serait pas si importante que cela.
J'avais un fût de 200l de 68Cst et 2 fûts de 20l de 200Cst pour alimenter 4 rectif, 2 centres 1fraiseuse et 1 tour.
68 pour les boites et broches et 200 pour les glissières ?
pour les huile de glissières, certaines contiennent des additif afin de resté sur le support sans séché ou .. glissé ..laissant ainsi la glissiére à nue
suivant certain angle ou matiére avec ou sans racleur ou feutre ou autres
en industrie moins de soucis la lub et souvent continue avec des système horloge ou mécanique automatique l'amateur lui dois renouvelez la protection en fonction du temps et de l'usage
Oui .. mais en même temps le site mobil dit pour la vactra :
"Elles sont idéales pour les systèmes hydrauliques moyennement chargés et les mécanismes à engrenages dans les machines-outils. "
Et
"
- Les Mobil Vactra Nº 1 et Nº 2 sont recommandées pour les glissières horizontales sur les petites et moyennes machines-outils. Elles conviennent également en graissage par circulation sur les grandes machines et en tant que liquide hydraulique à moyenne pression.
- Les Mobil Vactra Nº 3 et Nº 4 sont normalement recommandées pour les machines de grande taille lorsque les pressions exercées au niveau des glissières sont élevées et qu’une grande précision est requise. Elles serviront également à la lubrification des glissières verticales et inclinées où l’écoulement par gravité serait un problème, et pour les mécanismes à engrenages des machines outils moyennement chargés."
Donc même si le fabricant la positionne pour les glissières, il dit qu'elle est utilisable en hydraulique et pour engrenages ...
De plus, comme précisé, cela dépend beaucoup du moyen de graissage : La 3 et 4 a une viscosité meilleure mais pour le graissage par centralisation, on utilisera plutôt la 1 et 2.
Ce qui nous ramène à la question sur la différenciation de dénomination. D'une certaine manière, dire "huile de glissière" perd de son sens quand on a le discours qu'a le fabricant.
Pour les bi-grades, c'est avant tout pour les moteur à explosion il me semble. Comme travaillent en extérieur. (?)
Juste un petit mot sur la DTE,( huile nommée ) différente sur certains points, est plus élaborée pour le graissage
hydrodynamique des turbines à vapeur, antirouille, anticorrosion (eau de mer) stabilité aux températures et évite la cavitation des pompes hydrauliques.
La DTE est préconisée pour les engrenages/boites aussi ..
Bien sûr que chaque application a ses besoins spécifiques pour tourner en optimal, mais ce que je soulève c'est le double discours :
l'huile de boite utilisable en hydraulique, l'huile de glissière utilisable en boite ou hydraulique, ...
C'est ce qu'on disait de la GL5, huile BV et pont, mais il y a la controverse.
D'autant que beaucoup d'huiles sont dites "non corrosif vis à vis des bronzes" de nos jours.
Enfin bref, comme toujours, c'est le prétendu secret industriel qui pose problème. Les fabricants n'ont cas publier leur données que tout un chacun puisse faire son choix ! Un choix rationnel et non pas commercial.
Je rappel (sur l'autre poste c'est ce que j'avais dit) que pour un tracteur agricole moderne, on a plusieurs sortes d'huile :
Réducteurs, hydraulique, transmission, moteur, direction, pont, boite, ... Allez demander aux concessionnaires ce qu'ils en pensent ! Il ne comprennent rien !

Tout les 5 ans ils ont de nouveaux fournisseurs, nouvelles marques ... C'est juste une blague ! Donc là ils commencent à en avoir raz le cul et préconisent de plus en plus les huiles universelles !
(Bah oui, si le paysans doit ajouter 1L pour son relevage mais que la dernière référence n'existe plus ... il doit changer tout pour ne pas risquer de faire du beurre entre l'ancienne et la nouvelle ! ) Alala