Bonjour ,Guydo67 a dit:Merci Jean-Yves pour ces précisions. Ma question était un peu différente, je vais essayer de la préciser.
J'écrouis une plaque pour mettre une forme au marteau, et quand elle a sa forme je me rend compte qu'elle n'est pas totalement écrouie sur toute sa surface car il n'y avait pas besoin de frapper partout. Est-ce que je peux estimer combien de coup de marteau je dois donner pour arriver à l'écrouissage car si j'en donne trop cela va déformer ma forme? ou alors dois-je estimer que je dois systématiquement frapper/contre-frapper pour arriver à l'écrouissage?
Guydo
Bonjour ,3catsmouillés a dit:Bonjour à tous,
Et, tout d'abord, un GRAND MERCI à vous, Jean Yves, nopxor, Christophe 81 et Guydo67 pour les réponses précises que vous avez apporté à mes questions!
Ensuite, je me pose une question qui "coule de laminoir"!: compte tenu que l'action du laminoir amène inévitablement un écrouissage, la déformation que je me propose d'apporter à ma feuille de laiton (bordage* de 4mm de diamètre) nécessite-t'elle, quelle que soit la dureté initiale, un recuit préalable?
Deux autre questions, si elles vous semblent pertinentes:
- J'ai entendu dire qu'un écrouissage se fait de manière spontanée sur le laiton. Cette affirmation est-elle correcte ou fantaisiste?
- Si non, est-il possible de pratiquer un écrouissage par grenaillage? (sans altérer l'état de surface de la pièce à écrouir...).
* Ce terme n'est peut-être pas le bon: il s'agit de rouler le bord de la feuille...
Avec, à nouveau, toute ma gratitude pour le partage de vos connaissances,
Bien cordialement,
3catsmouillés
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