Perso, je me suis fait une espèce de petit trusquin avec une pointe, qui ne sert qu'à ça, comme d'autres l'ont fait aussi.
Immobiliser un mandrin pour ça, je trouve dommage...
Par contre le coup du vinaigre, c'est nouveau pour moi. Je me demande si ce n'est pas là que voulait en venir Michel...
Mais j'écris ici pour autre chose, par rapport à la hauteur d'outil. J'ai parcouru assez vite tous les posts du sujet indiqué par Michel, et n'ai pas trouvé ce qui pour moi est essentiel:
-si on dresse une face jusqu'au centre, il faut être à bonne hauteur sinon on a une carotte, et si l'outil est en dessous on casse l'arête une fois sur deux, au moment où elle veut "passer en dessous".
- si on fait du chariotage, tout dépend du diamètre. Pour un petit diamètre c'est important à nouveau.
Sur un D=200, je crois qu'on peut être à +/- 1 mm, qu'est-ce que ça change ? Du moins tant qu'on respecte les angles de coupe et de dépouille.
Je vais plus loin. Si on a un outil trop grand, impossible à mettre au niveau, toujours pour un chariotage, et si on l'affûte soi-même. Même avec 5 mm plus haut que l'axe, si on respecte les angles par rapport à la droite qui relie pointe d'outil et centre pièce, ça doit marcher pareil.
Par contre je sais bien que pour chaque diamètre ça va changer. Il faudrait donc anticiper par rapport au diamètre fini, pour avoir en finition les meilleures conditions.
Je me trompe ? " pointilleux du respect systématique de la norme"....s'abstenir !