C'est en général la raison pour laquelle il existe des pré-processeurs pour chaque machine, et c'est ce qui fait vivre les éditeurs, ils peuvent se permettre de facturer ces post-processeurs à un prix exorbitant.
Il y a tout de même quelques constantes (en général)
X , Y , Z sont toujours les axes principaux
G les ordres de déplacement
en général, on trouve G0 (ou G00) avance rapide
G1 avance en vitesse d'usinage en ligne droite
G2 et G3 avance en vitesse d'usinage avec rayon (horaire et anti horaire)
toutes ces instructions sont toujours suivies de coordonnées X, Y et/ou Z (une au moins des 3)
G2 et G3 se voient en général suivies de I, J qui sont les centres des points (je n'ai travaillé sur des fraiseuse CN qu'il y a longtemps, et ne me souvient pas d'un déplacement avec position de l'axe sur 3D, mais les progrès étant, ça a sûrement changé depuis)
Sur ma machine électro-érosion, on trouve T (outil en général pareil également sur les fraiseuses et centres d'usinage n° outil sur 2 chiffres, suivi du numéro de correcteur également sur 2 chiffres)
Restent ensuite les caractéristiques spécifiques (sous-programme, particularité de la machine etc)
Code ISO est à opposer à code ASCII. Dans le codage ASCII, un caractère est codé sur 8 bits, dans le cas d'un ISO, le codage est réalisé sur 7 bits, le 8ème servant de bit de parité (toujours un nombre pair de 1 dans un octet)
La lecture d'un code ISO sur un traitement de texte donne un résultat particulièrement spécial.