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marmalou a dit:merci grenouille32
le lien de mekratrig m'a bien renseigné
j'ai téléchargé ton fichier comme ça j'ai les tableaux dans l'ordi
Bon j'ai 19 G6 sur le plan et dans le tableau je trouve -9 et -25
que dois -je comprendre ?
merci
maisEt je te confirme qu'un avaleur de flamme est plus difficile à réaliser qu'un Stirling. Plus capricieux..
Pour mesurer un jeu de 0.01mm faut être pas mal équipé. Micromètre d'intérieur et d'extérieur. La cote la plus difficile à obtenir étant celle de l'alésage du cylindre, on commence par la. Dans le cas présent, tu vises Ø19. Après si ça fait 19.2 c'est pas bien grave. A ce stade il te faut obtenir par contre un très bon état de surface (Ra 0,8 mini) et une très bonne cylindricité. Pour obtenir le Ra, on peut toiler avec un peu d'huile. Mais avec modération car cela nuit très vite à la contrainte de cylindricité. Le piston ce fait en deuxième. Là il suffit de l'appairer avec le cylindre.
ZAPJACK a dit:Quoi qu'il en soit, le cylindre doit avoir un fini "miroir"
Oui et non, il ne faut pas oublier que ce genre de moteur ne déborde pas de puissance, qu'il n'est pas destiné a un usage intensif et effectivement sans segment. Le honage est plutôt réservé aux thermiques et aux cylindres en fonte.mekratrig a dit:Le " fini miroir" est-ce parce qu'il n'y a pas de segments sur le piston ? Sinon quelle est l'utilité des honoirs à déglacer les cylindres ?
Pour mesurer un jeu de 0.01mm faut être pas mal équipé. Micromètre d'intérieur et d'extérieur. La cote la plus difficile à obtenir étant celle de l'alésage du cylindre, on commence par la. Dans le cas présent, tu vises Ø19. Après si ça fait 19.2 c'est pas bien grave. A ce stade il te faut obtenir par contre un très bon état de surface (Ra 0,8 mini) et une très bonne cylindricité. Pour obtenir le Ra, on peut toiler avec un peu d'huile. Mais avec modération car cela nuit très vite à la contrainte de cylindricité. Le piston ce fait en deuxième. Là il suffit de l'appairer avec le cylindre.
Ici, je suis un peu plus mesuré (chacun sa technique fonction de son savoir faire personnel*). Personnellement, je fais le piston et m'en sert ensuite comme tampon d'alésage du cylindre ( j'ai pas de micromètre d'intérieur ).
grenouille32 a dit:N'oublions pas que les tolérances ISO permettent le choix facile des ajustements et permettent l'interchangeabilité des pièces.
Celles-ci peuvent ainsi provenir de divers fabricants.
A une certaine époque, les montres étaient fabriquées "artisanalement", et les pièces de rechange étaient refaites avec la bête originale à côté de la machine
grenouille32 a dit:Je connais très mal le sujet de ces moteurs.
Mais le jeu obtenu par ajustement à température ambiante ne risque-t-il pas d'être modifié et de passer à un serrage destructeur à température de fonctionnement
grenouille32 a dit:Je dois dire que je pensais à une fabrication de pièces ne nécessitant pas un tel degré de précision.
L'appairage se fait-il par triage sur des machines automatiques ?
Par exemple, les horl9gers ont développé des classes de tolérances intermédiaires; à voir dans les normes NIHS
mekratrig a dit:*tout au moins pour les stirling gamma. Dans les beta, la chauffe est plus conséquente en général, mais la dilatation est encore faible. Dans les avaleurs de flamme, je ne sais pas, il faut demander à Titou16, mais ce doit être intermédiaire entre un gamma et un beta.
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