c'est vrai, tu as raison VilozorroBonjour
Attention à ne pas tirer une conclusion générale d'un cas particulier non plus
La fragilisation par la pénétration d'hydrogène dépend du type d'acier (ou de sa structure)
Les vis 12.9 ne sont quasiment jamais zinguées à cause de ça
Alors que sur les 8.8 l'électrozingage ne pose pas de problème.
Je suppose que les aciers à ressorts, trempés très durs, très austénitiques, sont plutôt dans le cas des premières (je ne sais pas si c'est plus lié à la composition chimique ou au traitement), mais ça dépend peut-être des ressorts
PS: la pénétration de l'hydrogène au coeur du métal prend du temps... les dommages causés au ressort se révéleront peut-être plus tard (sans vouloir inquiéter qui que ce soit)
Merci Michel.c'est une recette qui traîne dans les bouquins de bricolage depuis des décennies, à base de limaille de fer + soufre + sel ammoniac
un ciment destiné à boucher les fentes des fonderies
je l'ai essayée et ça ne marche pas, j'avais posté un fil de discussion à l'époque
Que voulez vous dire, qu'il faut une durée d'électrolyse conséquente ou que le ressort maltraité par l'électrolyse a en quelque sorte ses fibres ouvertes pour y faire pénétrer l'hydrogène même après l'électrolyse ?PS: la pénétration de l'hydrogène au coeur du métal prend du temps... les dommages causés au ressort se révéleront peut-être plus tard (sans vouloir inquiéter qui que ce soit)
tu dérailles…..Merci Michel.
Est-ce que poudre d'aluminium + poudre d'oxyde de fer ne marcherait pas mieux?
Oui, d'accord, c'est chaud...
L'hydrogène est produit pendant l'électrolyse, donc dès qu'on l'arrête le métal ne capte plus d'hydrogène.Que voulez vous dire, qu'il faut une durée d'électrolyse conséquente ou que le ressort maltraité par l'électrolyse a en quelque sorte ses fibres ouvertes pour y faire pénétrer l'hydrogène même après l'électrolyse ?
Juste une idée . Est-ce que tu crois qu’il est nécessaire de l’oxyder pour tester la réaction chimique , pour moi , s’il y a une réaction de l’électrolyse , que la pièce soit rouillée ou non ,n’y change rienje n'ai pas de ressort oxydé en fil, je vais en faire rouiller un…
La densité ?Peut-être existe-t-il un moyen simple de mesurer la quantité d'hydrogène dans l'acier
Euh... 100µm, ça fait plutôt 0,1 mm, non?En effet, la durée de vie d'un capteur avec une membrane de 100µm revient donc au temps que l'hydrogène met pour parcourir l'épaisseur de celle ci, soit 0.001mm.
Si on veut savoir combien de temps il mettrait à parcourir 1mm, il suffit donc de multiplier par 1 000 la durée de vie d'un capteur.
Ainsi, pour une durée de vie de 1 mois (valeur choisie arbitrairement et de manière pessimiste), alors pour qu'il parcoure 1mm dans l'acier il faudrait 1 000 mois, soit 83 ans et 4 mois...
Sans vouloir te contredire, ça n'a surtout rien a voir....En plus d'avoir une diffusion extrêmement lente, le milieu électrolytique n'est rien en comparaison des "stress tests" effectués pour les capteurs ou pour les gazoducs.
Oups effectivement ! J'étais un peu trop fatigué quand j'ai écrit ça...Euh... 100µm, ça fait plutôt 0,1 mm, non?
Ce qui donnerait 10 mois pour 1 mm.
Ou me serais-je gouré quelque part?
L'étude Afnor tend à montrer que plus un acier est résistant et dur plus il est résistant au phénomène. Maintenant ils n'ont fait le test que sur 5 échantillons (c'est assez peu pour généraliser comme je l'ai fait, effectivement).Sans vouloir te contredire, ça n'a surtout rien a voir....
L'électrolyse est un phénomène complètement différent de la pression d'un gaz. De plus, la question est celle de la fragilisation des ressorts qui sont des aciers "particuliers" ayant subit des traitements thermiques destinés à en faire des ressorts....
D'un autre coté, c'est plutôt une question de prudence, le dérouillage électrolytique s'effectuant sur des acier de nuances inconnues et les ressorts particulièrement problématiques à "remplacer"
J'insiste, la comparaison n'a aucun sens...l'électrolyse me semble bien "light" en comparaison.
J'suis désolé mais j'arrive pas à comprendre...J'insiste, la comparaison n'a aucun sens...
On n'a pas la même lecture du document :J'ai aussi trouvé une étude Afnor de la corrosion de l'hydrogène sur acier (voir le fichier joint). Ils comparent la diffusion de l'hydrogène à la diffusion de l'hélium (qui sert de témoin de "non-diffusion").
À retenir :
- la fragilisation par l'hydrogène diminue lorsque la résistance mécanique de l'acier ou la dureté augmente.
Contrairement à la tendance générale relevée sur un large éventail d'alliages métalliques, les aciers de cette étude aux résistances mécaniques les plus élevées sont également les moins sensibles à l'hydrogène. Ce résultat intéressant est consécutif aux modes de durcissement:
• l'écrouissage crée un réseau de dislocations qui piègent l'hydrogène,
• les fins précipités formés initialement avec certains éléments alliages piègent également l'hydrogène.
bonjour à tous,
les diverses sources traitant du dérouillage par électrolyse affirment que ce procédé rend les ressorts cassants
cette fragilisation serait due à la pénétration de l'hydrogène dans le métal….
comme les différentes sources se recopient souvent les unes les autres, elles recopient aussi des erreurs
un bon exemple est la recette du ciment de métallo
pour en avoir le cœur net, j'ai fait un test avec un ressort lame rouillé
la cuve est un bac plastique, l'électrolyte une solution de lessive Saint-Marc et l'alimentation un chargeur de batterie
ça va vite, en une demie heure la rouille est partie, je gratte le résidu noir qui colle par endroits pour mettre le métal à nu
pour tester, j'ai bloqué le ressort dans l'étau et tiré sur l'extrémité libre, et ça ne casse pas !
je n'ai pas de ressort oxydé en fil, je vais en faire rouiller un…
merci pour votre attention
Voir la pièce jointe 489557
Voir la pièce jointe 489558
Voir la pièce jointe 489559
Voir la pièce jointe 489560
Voir la pièce jointe 489561
D'accord je comprends mieux, pour moi les nuances ne me semblaient pas si éloignés les unes des autres, mais c'est une erreur. Si au niveau composition chimique on est à 1ou 2% de différence d'un alliage à l'autre, à l'intérieur ça n'a donc rien à voir.Mais le problème ce n'est pas ça, c'est que tu considères des résultats de tests hyper spécifiques comme étant valables pour tous les aciers.
J'aimerais comprendre un peu plus à quel point ça impacte l'acier de faire une électrolyse mais pas seulement pour les ressorts. Pour la durabilité des pièces en général.
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