roland88
Compagnon
Bonjour xav58, si tu n'y vois rien, c'est qu'il n'y a rien de marqué....peut-etre ne parlons nous pas du meme levier...Merci de me le situer exactement. J'ai ce tour a mon lieu de travail, donc réponse lundi....A+ et bon weck-end. ( si tu designes le grand levier situé sous la poupée fixe, celui-ci n'existe pas sur notre tour....)
xav58
Compagnon
roland88 a dit:
re
oui roland c est bien celui ci que je parle .......
sur les doc de batignol ou somua ( ac140 \ac280 ) , il n existe pas
c est la première fois aussi que je vois ce type de levier sur ce tour ..... donc c était juste par curiosite que je posais cette question
mais apparemment personne ne connait
c est une photos trouver sur le coin coin : http://www.leboncoin.fr/materiel_profes ... htm?ca=5_s
xav58
Compagnon
duchemin a dit:
re
pour le copieur , rien a voir , je l ai aussi .......
pour bricomega , ce tour est bien équipé d une boite manuel ( tout les leviers de commande de la boite sont présent sur la poupée fixe ......
en faite a l endroits ou est ce " leviers " , il y a juste la courroie qui passe .....
en dessous , le moteur elect , au dessus les boites a vitesse ......
bizarre !!!
papeteme
Compagnon
Bonjour à tous,
D'accord Xav, mais qu' avec certain(e)s membre du forum et seulement après envoi de la photo.
Vous l'avez tous compris, c'était pour finir la semaine en rigolant ................
Maintenant soyons sérieux et voila la réponse que Gaston a donnée en partie dans sa toute première réponse.
J'ai eu la chance d'avoir un AC 280 équipé de cette manière et d'ailleurs, si ce n'était la présence du copieur que je n'avais pas, j'aurais parié qu'il s'agissait du mien tant ce montage semble être confidentiel.
Ce levier commande d'une manière progressive et successive (dans le sens gauche-droite) le défreinage de la broche puis progressivement son embrayage par un débattement d'environ 45°. En sens inverse, après le débrayage, l'opérateur peut, suivant le déplacement du levier soit laisser la broche s'arrêter en roue libre, soit la freiner énergiquement en ramenant le levier rapidement à gauche.
A l'arrêt, la broche est fortement bloquée, mais il suffit de pousser le levier de quelques centimètres pour qu'elle se libère et permette de tourner le mandrin. Le moteur n'a pas à redémarrer à chaque fois puisqu'il reste en route aussi longtemps qu'on a pas besoin de changer le sens. Le démarrage se fait en douceur sous le regard de l'opérateur qui peut à tout instant stopper la mise en route si quelque chose ne va pas. Tous ces avantages me font dire que ce système est absolument génial, d'autant plus que la pédale y est couplée. Il ne manque qu'un deuxième levier identique situé à droite du tour pour servir quand on fait du perçage avec la poupée mobile.
Prochainement, quand son atelier sera fini, Patduf qui m'a acheté ce tour aura certainement le même sentiment.
Peut être que Gaston 48 (et sa une prodigieuse expérience) pourra nous dire dans quel cas un usineur avait un intérêt particulierà se payer cette option qui devait couter assez chère pour être si peu répandue. Peut être à mon sens pour des travaux de reprise imposant des arrêts et redémarrages rapides et fréquents.
Je ne peux que conseiller l'achat d'un tour de ce type (si tout le reste est en état)
Bonne semaine. Papeteme.
D'accord Xav, mais qu' avec certain(e)s membre du forum et seulement après envoi de la photo.
Vous l'avez tous compris, c'était pour finir la semaine en rigolant ................
Maintenant soyons sérieux et voila la réponse que Gaston a donnée en partie dans sa toute première réponse.
J'ai eu la chance d'avoir un AC 280 équipé de cette manière et d'ailleurs, si ce n'était la présence du copieur que je n'avais pas, j'aurais parié qu'il s'agissait du mien tant ce montage semble être confidentiel.
Ce levier commande d'une manière progressive et successive (dans le sens gauche-droite) le défreinage de la broche puis progressivement son embrayage par un débattement d'environ 45°. En sens inverse, après le débrayage, l'opérateur peut, suivant le déplacement du levier soit laisser la broche s'arrêter en roue libre, soit la freiner énergiquement en ramenant le levier rapidement à gauche.
A l'arrêt, la broche est fortement bloquée, mais il suffit de pousser le levier de quelques centimètres pour qu'elle se libère et permette de tourner le mandrin. Le moteur n'a pas à redémarrer à chaque fois puisqu'il reste en route aussi longtemps qu'on a pas besoin de changer le sens. Le démarrage se fait en douceur sous le regard de l'opérateur qui peut à tout instant stopper la mise en route si quelque chose ne va pas. Tous ces avantages me font dire que ce système est absolument génial, d'autant plus que la pédale y est couplée. Il ne manque qu'un deuxième levier identique situé à droite du tour pour servir quand on fait du perçage avec la poupée mobile.
Prochainement, quand son atelier sera fini, Patduf qui m'a acheté ce tour aura certainement le même sentiment.
Peut être que Gaston 48 (et sa une prodigieuse expérience) pourra nous dire dans quel cas un usineur avait un intérêt particulierà se payer cette option qui devait couter assez chère pour être si peu répandue. Peut être à mon sens pour des travaux de reprise imposant des arrêts et redémarrages rapides et fréquents.
Je ne peux que conseiller l'achat d'un tour de ce type (si tout le reste est en état)
Bonne semaine. Papeteme.
DUMUCHER
Compagnon
Bonjour,
Cet embrayage était monté sur les anciens tours, sur AC plus récents ce levier n"existe plus.
Effectivement, il y avait quelques avantages, mais il avait surtout un grand inconvénient : le moteur tournait tout le temps.
Je ne pense pas, comme le dit "papeteme" que cela soit une option. La majorité d'anciens tours et d'anciennes fraiseuses avaient ce système.
Amicalement.
Jean-Claude
Cet embrayage était monté sur les anciens tours, sur AC plus récents ce levier n"existe plus.
Effectivement, il y avait quelques avantages, mais il avait surtout un grand inconvénient : le moteur tournait tout le temps.
Je ne pense pas, comme le dit "papeteme" que cela soit une option. La majorité d'anciens tours et d'anciennes fraiseuses avaient ce système.
Amicalement.
Jean-Claude
papeteme
Compagnon
Bonjour Jean Claude,
J'ai juste envie de te dire : "prouves nous que les anciens AC 280 ou AC 140 étaient majoritairement équipés de cet embrayage-frein"
Ton affirmation me surprend d'autant plus que j'ai cru longtemps possèder le "seul" qui existait. De toutes les photos d'AC 140 ou 280 publiées sur le forum, jamais aucune n'avait ce levier. Même des négociants en MO ne connaissaient pas cette particularité et même les spécialistes de ce forum proposaient des réponses mais sans être sûr.
En quoi le fait que le moteur ne soit pas obligatoirement arrêté pour changer de vitesse ou prendre une cote est il gênant ? car bien sûr il reste le bouton arrêt du moteur pour boire la bibine dans le silence ............
Une fois encore, le forum prouve sa bio-diversité (terme à la mode) : ce que certains apprécient, d'autres le déplorent !
Cordialement. Papeteme.
J'ai juste envie de te dire : "prouves nous que les anciens AC 280 ou AC 140 étaient majoritairement équipés de cet embrayage-frein"
Ton affirmation me surprend d'autant plus que j'ai cru longtemps possèder le "seul" qui existait. De toutes les photos d'AC 140 ou 280 publiées sur le forum, jamais aucune n'avait ce levier. Même des négociants en MO ne connaissaient pas cette particularité et même les spécialistes de ce forum proposaient des réponses mais sans être sûr.
En quoi le fait que le moteur ne soit pas obligatoirement arrêté pour changer de vitesse ou prendre une cote est il gênant ? car bien sûr il reste le bouton arrêt du moteur pour boire la bibine dans le silence ............
Une fois encore, le forum prouve sa bio-diversité (terme à la mode) : ce que certains apprécient, d'autres le déplorent !
Cordialement. Papeteme.
DUMUCHER
Compagnon
Bonjour papeteme,
Effectivement, je pensais à tort, que ce système été monté sur les anciennes machines, car j'ai un copain qui a un AC 140 avec boite à gradins avec ce levier et moi même possédant une fraiseuse Schaublin 53 toujours avec le même système.
Aprés renseignements pris chez ERNAULT SERVICES (il ne connaissait pas ce systéme et en cherchant dans leur anciennes documentations, la personne que j'ai contacté a effectivement trouvé une doc avec plan sur ce sytème datant de 1957 ET 1958 (pouvant aussi se monter sur des AC 280)avec quelques modifs
Ce système est appelé transmetteur sur moteur CONSTAN.
Je pense (sans être affirmatif, car içi, il faut vraiment faire attention sinon gare) que Constan est la marque du moteur équipant ce système.
Amicalement.
Jean-Claude
Effectivement, je pensais à tort, que ce système été monté sur les anciennes machines, car j'ai un copain qui a un AC 140 avec boite à gradins avec ce levier et moi même possédant une fraiseuse Schaublin 53 toujours avec le même système.
Aprés renseignements pris chez ERNAULT SERVICES (il ne connaissait pas ce systéme et en cherchant dans leur anciennes documentations, la personne que j'ai contacté a effectivement trouvé une doc avec plan sur ce sytème datant de 1957 ET 1958 (pouvant aussi se monter sur des AC 280)avec quelques modifs
Ce système est appelé transmetteur sur moteur CONSTAN.
Je pense (sans être affirmatif, car içi, il faut vraiment faire attention sinon gare) que Constan est la marque du moteur équipant ce système.
Amicalement.
Jean-Claude
Sujets similaires
Identification
ERNAULT BATIGNOLLES - Dispositif électrique
-
cram71
- Tours
-
TRAND
- Tours
-
bricolobo
- Tours
Dépannage
CAZENEUVE HB725 - Décalage filetage
-
Biston
- Tours
Général
Tour Gema DU40
-
RGuillaume
- Tours
Général
Devallière H130F
-
jpleroux
- Tours
Sujets similaires
-
francis714
- Tours
Général
Ernault Somua AC280
-
pascalconstant
- Tours
