cantause
Compagnon
Bonsoir,
Mon papa est venu me trouvé cet après-midi pour que l'on fraise une pièce dans un morceau d'os, pour sa guitare (se serait-il mis au tuning?)
On a pas fait de grandes opérations style portées de roulement ou rainures de clavette, il fallait juste réduire l'épaisseur de son morceau (6x12x80), pour limiter le temps de ponçage/limage qui devait s'en suivre pour l'adapter à son instrument de musique.
Quand j'aurai un peu plus de temps (les examens approchent) on va essayer de faire d'autres opérations à la fraiseuse, tel que des perçages, biseautage,... J'aimerais donc savoir si certains d'entre vous ont de l'expérience dans l'usinage des os? Quels types d'outils employer (nombre de dents)? Vitesses?
J'ai utilisé une fraise à 4 dents en hss revêtu de 16 à 500 t/min et c'est à 50mm/min d'avance que j'ai eut les meilleur résultats. Le petit soucis est qu'en fin de passe la fraise avait parfois tendance à faire de petits éclats, ce qui ne posait pas de problème vu que c'état du dégrossissage mais dans le projet d'un usinage complet ça serait bien d'éviter ce genre de défauts.
Bien entendu ce travail pourrait être effectué manuellement à la lime comme le font les luthiers, mais le but ici est d'essayer de dompter cette manière un peu moins courante.
Voici les copeaux, ça ressemble fort à de la noix de coco en poudre pour faire des pâtisseries:
Ne vous étonnez pas c'est un étaux d'ajusteur monté sur la table de la fraiseuse, pas très orthodoxe mais mon gros étaux a un comportement bizarre dans le dernier centimètre de serrage et ses mors ne sont pas usinés à la même hauteur, comme c'était un bricolage à l'improviste on a "bricolé".
Concernant la matière, je ne la connais pas exactement, mais puisqu'il est médecin c'est peut-être de l'os humain, auquel cas, pensez vous qu'il vaille mieux privilégier les os d'enfant bien résiliants ou ceux de vieillards un peu poreux pour gagner en poids?
Plus sérieusement il n'avait pas l'air reconstitué et il était bien sec.
Merci pour vos conseils.
Mon papa est venu me trouvé cet après-midi pour que l'on fraise une pièce dans un morceau d'os, pour sa guitare (se serait-il mis au tuning?)
On a pas fait de grandes opérations style portées de roulement ou rainures de clavette, il fallait juste réduire l'épaisseur de son morceau (6x12x80), pour limiter le temps de ponçage/limage qui devait s'en suivre pour l'adapter à son instrument de musique.
Quand j'aurai un peu plus de temps (les examens approchent) on va essayer de faire d'autres opérations à la fraiseuse, tel que des perçages, biseautage,... J'aimerais donc savoir si certains d'entre vous ont de l'expérience dans l'usinage des os? Quels types d'outils employer (nombre de dents)? Vitesses?
J'ai utilisé une fraise à 4 dents en hss revêtu de 16 à 500 t/min et c'est à 50mm/min d'avance que j'ai eut les meilleur résultats. Le petit soucis est qu'en fin de passe la fraise avait parfois tendance à faire de petits éclats, ce qui ne posait pas de problème vu que c'état du dégrossissage mais dans le projet d'un usinage complet ça serait bien d'éviter ce genre de défauts.
Bien entendu ce travail pourrait être effectué manuellement à la lime comme le font les luthiers, mais le but ici est d'essayer de dompter cette manière un peu moins courante.
Voici les copeaux, ça ressemble fort à de la noix de coco en poudre pour faire des pâtisseries:
Ne vous étonnez pas c'est un étaux d'ajusteur monté sur la table de la fraiseuse, pas très orthodoxe mais mon gros étaux a un comportement bizarre dans le dernier centimètre de serrage et ses mors ne sont pas usinés à la même hauteur, comme c'était un bricolage à l'improviste on a "bricolé".
Concernant la matière, je ne la connais pas exactement, mais puisqu'il est médecin c'est peut-être de l'os humain, auquel cas, pensez vous qu'il vaille mieux privilégier les os d'enfant bien résiliants ou ceux de vieillards un peu poreux pour gagner en poids?
Plus sérieusement il n'avait pas l'air reconstitué et il était bien sec.
Merci pour vos conseils.