Bonjour,
on dirais bien un gradateur à triac , dont le déclenchement est assuré par circuit R-C et lampe au néon (au lieu d'un diac)
Si c'est ça , et si le triac est carrément en court circuit sur ses 3 électrodes, la destruction du triac peut entrainer avec elle celle de la lampe au néon !
il faudrai changer le triac (il est en en principe sur une plaque en alu servant de dissipateur ) et la lampe au néon (c'est la même que dans les voyants lumineux d'appareils ménagers, son seuil est de 70V environ, si on la récupère dans un voyant, utiliser le tube seul sans sa résistance série)
Attention : cette carte avec ce potar est placé coté primaire, sous tension secteur (attention danger si on travaille dessus sous tension !) et il semble bien que toute l'intensité passe par cette carte (ce qui est, au passage , une erreur de conception !) et qu'il faudrai voire l'état des pistes coté cuivre ! (qui ont carrément pu fondre , en cas de surintensité importante ! chose qui peut facilement arriver avec un tel chargeur !)
A noter : l'emploi de lampes au néon , soit comme régulatrice, soit comme élément de déclenchement impulsionnel, étais plus courant qu'on crois !
(on en rencontrais , par exemple, dans des applications aussi diverses que la stabilisation des tensions de grille écran dans les récepteurs ou amplis pros à lampes ...la base de temps verticale de certains vieux téléviseurs noir et blanc à lampes quand il n'y avais qu'une seule chaine ...mais aussi comme protection d'antenne dans des postes de radio , ou comme élément de déclenchement dans des stroboscopes de night-club ! )
Et si ça remonte à l'époque de l'électronique à tubes , ça a duré longtemps et bien après les montages à tubes électroniques ( et continué jusqu'aux années 1980 avec l'électronique a semiconducteurs !)