Z
Pour les éléments comme fronton, lentille de balancier, j'utilise la cire Renaissance (*) et c'est excellent, facile à passer, peu visible (diminue un peu la brillance) et surtout très durable (plus de ternissement ni d'oxydation)..........et enfin comment empêcher l'oxydation.
L’or moulu est un mélange d’or fin et de mercure.l'or moulu". C'est un mélange d'or fin, d'acide nitrique (?) et de mercure
Les parties en laiton des mouvements de montres anciennes étaient dorées à "l'or moulu". C'est un mélange d'or fin, d'acide nitrique (?) et de mercure qui était appliqué au pinceau (?). J'ai les recettes dans des vieux grimoires.
Le tout était ensuite chauffé, le mercure s'évaporait et laissait une fine et belle couche d'or fin sur l'objet. Sur la photo ci-dessous, on voit la partie sous le cadran (non visible) sur un "oignon" Louis XIV avec des traces de dorure à "l'or moulu" :
@+
JC
Je connais une personne qui utilisait ce processus pour redorer les gravures des platines de crosse de fusils ,je ne sais pas si c'etait a la suite d'années de trefilage laiton en temps qu'ouvrier ou la passion pour la restauration des armes anciennes qui l'on conduit a etre declaré handicapé a 80% suite a une dégradation irreversible de son système nerveux ,peut etre qu'avec un dispositif adapté a l'extraction des vapeursLe tout était ensuite chauffé, le mercure s'évaporait et laissait une fine et belle couche d'or fin sur l'objet.
Très intéressant. Si tu retrouves ta recette miracle ça m'intéresse.
C'est possible que ce soit la nitrique car elle donne HgNO3 avec le mercure. L'or s'amalgame avec le mercure également.
Je connais une personne qui utilisait ce processus pour redorer les gravures des platines de crosse de fusils ,je ne sais pas si c'etait a la suite d'années de trefilage laiton en temps qu'ouvrier ou la passion pour la restauration des armes anciennes qui l'on conduit a etre declaré handicapé a 80% suite a une dégradation irreversible de son système nerveux ,peut etre qu'avec un dispositif adapté a l'extraction des vapeurs
ça pourrait le faire , j'ai souvent été tenté d'utiliser cette méthode mais franchement .....j'accepte de rester un petit joueur
Ce produit a l'air bien. Mais 18€ de port pour 16 € de produit, j'ai renoncé. Je regarderai si on trouve l'équivalent ailleurs ...
En Guyane, les orpailleurs n'ont pas l'air de trouver cela dangereuxJe connais une personne qui utilisait ce processus pour redorer les gravures des platines de crosse de fusils ,je ne sais pas si c'etait a la suite d'années de trefilage laiton en temps qu'ouvrier ou la passion pour la restauration des armes anciennes qui l'on conduit a etre declaré handicapé a 80% suite a une dégradation irreversible de son système nerveux ,peut etre qu'avec un dispositif adapté a l'extraction des vapeurs
ça pourrait le faire , j'ai souvent été tenté d'utiliser cette méthode mais franchement .....j'accepte de rester un petit joueur
En Guyane, les orpailleurs n'ont pas l'air de trouver cela dangereux
Le polissage en horlogerie est tout un art ! Les surfaces doivent rester planes, sans raie. Les angles doivent être vifs. On voit tout de suite si un bricolo est passé par là avec un tour a polir. Tout est arrondi, moche et irrécupérable. La solution, c'est de nettoyer avec des bains pour pendules, éventuellement finir à la brosse à main et au blanc d’Espagne ( de Troyes de Paris etc...) pour donner du brillant, sans casser les angles. La seule solution pour que cela ne s'oxyde pas, c'est de mettre un flash de dorure galvanique, mais il faut avoir les bains, le savoir-faire et épargner les parties en acier. Les parties en laiton des mouvements de montres anciennes étaient dorées à "l'or moulu". C'est un mélange d'or fin, d'acide nitrique (?) et de mercure qui était appliqué au pinceau (?). J'ai les recettes dans des vieux grimoires.
Le tout était ensuite chauffé, le mercure s'évaporait et laissait une fine et belle couche d'or fin sur l'objet. Sur la photo ci-dessous, on voit la partie sous le cadran (non visible) sur un "oignon" Louis XIV avec des traces de dorure à "l'or moulu" :
Cette pratique est réglementée aujourd'hui. Un employeur n'a pas le droit de faire exécuter ce genre de travail par un salarié. Voir maladie de Minamata.
Pour la bonne tenue des huiles, les platines et roues doivent impérativement être exemptes de gras.
@+
JC
We use cookies and similar technologies for the following purposes:
Do you accept cookies and these technologies?
We use cookies and similar technologies for the following purposes:
Do you accept cookies and these technologies?