Normalement, on règle la position de la lame pour que les dents ne soient pas sur le bandage...l'avoyage d'un coté sur les "grosses" dents de scies à bois.
Oui, mais j'avais bien préciser "selon le modèle" par exemple, sur la sydéric (prévue aussi pour le bois) les bandages sont bombés et la lame se positionne au milieu....Normalement,
je pense que cela est due aux garnitures en liège qui risque de se déformer
Tout cela est bien vrai, chaque scie, chaque scieur ont leur petits secrets... la seule vérité est celle qui marche dans chaque cas !à moins d’aimer tourner carré
J'ai eu un problème une fois en ayant posé une lame trop épaisse sur une scie à ruban de table (B&D)... à la remise en route ! paf ! soudure cassée ! les volants étaient au nombre de 3 et de petits diamètres... encore deux facteurs donc de "casse" possible...ça abimait la lame de rester sous tension
1. Interrupteur 2. Verrouillage porte d’accès volant 3. Réglage guide ruban 4. Guide ruban 5. Galet de guidage 6. Ruban 7. Guide de délignage 8. Table de sciage 9. Réglage tension courroie d’entraînement 10. Piètement | 11. Réglage tension ruban 12. Curseur de tension 13. Levier de détente rapide ruban 14. Réglage inclinaison du volant 15. Rallonge 16. Prise aspirateur |
Si c'était vraiment indispensable, les constructeurs de scie auraient tous prévu un système de débandage rapide
Oui ! ... Les menuisiers ou ébenistes détendaient les scie à araser, il y avait une clé spécifique pour tendre et détendre grâce à de petites cordes enroulées sur elles mêmes , mais je pense que le but n'était pas de préserver la lame, mais de ne pas déformer le cadre qui, était à l'époque entiérement en bois.Nous devrions détendre même les scies à mains
Le but en vrai était un peu différent : c'est surtout que la corde pouvait s'effilocher en restant tendue longtemps (souvent en chanvre à l'époque ou refaite avec de la récup de ficelle de lieuse, voire de chutes de ficelles récupérées sur les petites bottes de paille ou foin de l'époque). Un autre problème aussi, venait de l'usage de scies à bûche qui restaient souvent dehors ou à l'humidité, donc il fallait les retendre... mais venus les beaux jours, le soleil, la sécheresse... les cordes exerçaient alors une tension trop forte par raccourcissement et brisaient les cadres en bois (souvent au niveau des pointes qui tenaient la lame de chaque côté)... je vous ferai une photo, j'en ai une à l'atelier...but n'était pas de préserver la lame, mais de ne pas déformer le cadre qui, était à l'époque entiérement en bois.
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