Pour ma part, une bonne partie est déjà automatisée, j'ai un traitement au sel avec correction automatique du PH.
Le lavage du filtre en fonction de la pression permet d’éviter un éventuel colmatage s'il n'est pas fais assez souvent.
Et c'est variable suivant son encrassement, j'ai beaucoup de vent chez moi, et suivant que le volet soit ouvert ou fermé, le filtre est sollicité du simple au triple avec la poussière.
Du coup, je lave en fonction du mano sur la tete du filtre.
Pour la mise a niveau automatique, j'ai un volet immergé, lequel flotte sur l'eau et nécessite d'avoir un niveau peu fluctuant sous peine de ne pas le faire sortir de la fente si le niveau est trop bas.
Entre le nettoyage et l'évaporation, et suivant la pluviometrie de l'été je dois ajouter de l'eau regulierement.
Idem concernant le robot, c'st un robot mécanique branché sur une pompe surpresseur, donc je dois gérer son fonctionnement en fonction des temps de filtration vu qu'il ne doit pas fonctionner si la filtration n'est pas enclenchée.
Enfin, l'asservissement en fonction de la température a un intérêt sécuritaire également pour le traitement au sel.
Les plaques d’électrolyse ne doivent pas fonctionner en dessous de 15°, donc ça permet d'assurer un certain contrôle et de pouvoir couper le traitement sel si l'eau se refroidit trop.
(On a vite fais d'oublier bêtement en fin de saison, et se retrouver a devoir remplacer des plaques, choses pas données)
Idem, au re-démarrage.
On peut envisager une alarme lumineuse pour la sortie d'hivernage et eviter de voir tourner son eau parce que la température de l'eau était plus élevée que prévue.
Bref, a mes yeux ca ne permet pas d'automatiser tout le traitement, mais ca permet de gérer et d’alléger un peu l'entretien.
Sans quoi, les vannes filtres commandées n'existeraient pas.