Atelier d'Iseki

Les dernières issues des stocks de mobilisation, ont été vendues par les Domaines au tout début des années 90.
C'est à peu-près la même chose pour les torpédos: vers 1995, la Légion de Gendarmerie de Casltelnaudary a mis en vente 10 lots de 1.
J'avais appelé à l'époque le chef de parc : les véhicules totalisaient entre 500 et 2000 km max... Tout était neuf (stock de mob).

De 81 à Hourtin, à 1983 à Papeete et Mururoa, je n'en ai vu aucun : il y avait des TP3 (Saviem), des HY (Citroën), des Méhari, et des antiques GMC CGKW pour faire le déchargement à Muru (antiques mais en parfait état).

Merci bcp !

La passion, c'est la dernière lumière à s'éteindre après l'envie...

Bonsoir,

Quelques photos du jour

En prévision du rangement final du Bronx, mise en place de la fraiseuse à son emplacement quasi définitif.


J'en profite pour parler éclairage :

Travées de stockage pour les véhicules : 4 spots à leds de 50w par travée (type lumière naturelle (4500 K)
Travée atelier : 2 spots à leds de 100 w à détection (Blanc froid 7000 k)
Potences au-dessus des machines : 4 spots à leds de 20w (blanc froid 6000 k)
Dessus de l'établi : 2 spots à leds de 30w à détection (blanc froid 7000 k)
Mezzanine : bandes de leds sous tubes montées sur réglettes alu emboîtables (récup') (2x5 longueurs) (4000K)
Chaque type d'éclairage est commandé par un interrupteur (même les zones équipées de détecteurs)

Ci-dessous le détails du montage des spots pour les machines.
J'ai utilisé 2 grandes équerres pour charges lourdes, sur lesquelles j'ai vissé un bout de tube carré de récup' (châssis de bureau Ikea)

Je prévois d'équiper ultérieurement la fraiseuse et la perceuse à colonne (en cours de remontage), chacune d'un spot, mais d'ores et déjà, je peux vous dire que ça "crache" un max, sans zones d'ombre.

Place aux photos :

Bonjour

Aujourd'hui c'est dimanche (donc ne pas trop forcer...)

Une petite heure et demie pour remonter la perceuse.

Bien m'en a pris car le mandrin a commencé à rouiller à un endroit, comme s'il avait séjourné dans l'eau.
La corrosion n'est pas superficielle, car malgré un passage au tampon, on sent les irrégularités sous l'ongle.
Ca n'empêche pas le fonctionnement, mais, c'est bôf-bôf (pour les maniaques)
Il a aussi souffert à l'utilisation : je ne sais pas avec quoi mon père l'a serré, mais il est tout esquinté au niveau des trous prévus pour la clef à griffe
Idem le carter arrière du moteur : ici la corrosion est superficielle, mais ll y a un léger enfoncement.
Enfin la cosse de masse près des poulies est débranchée (MEPOURKOIDONC ?)

Donc remontage de la bestiole "Made in Mr. Wang"
A vue d'oeil, et même si je n'y connais pas grand chose en machines-outils, on est visiblement pas chez Cincinnati...
Cela-dit, c'est tout simple.

Une fois remontée : essai.
La connexion est bizarre : une prise mâle tétra est sur le boitiner de commande, et un adaptateur est prévu (avec à l'autre bout une ancienne prise tri.
Je ne vois pas trop l'intérêt de ce montage, sauf à fournir des adaptateurs adaptés (héhé...) aux pays de destination, sans avoir à recâbler les alims... c'est peut-être ça le truc...

Du coup, je branche directement une rallonge tétra pour l'essai.
ON : impeccable, c'est très silencieux.
Sauf qu'elle tourne à l'envers...
Ca risque de prendre un peu de temps pour faire un trou...

On verra ça plus tard (c'est peut-être la rallonge qui est mal câblée, ou alors le hangar. Dans tous les cas, rien de grave : 2 fils à inverser et hop.
En attendant je dépose le moteur pour le repeindre (vu que je vais décabosser le carter arrière et le repeindre aussi)
Et puis c'est tout pour aujourd'hui... Eh oh, on est dimanche

Ah si, il y a un étau OTMT bizarre, avec un mors en 2 parties pivotantes : AKOIKSASSERT ? Réfléchissement...
D'après ce que je comprends, ça doit servir à maintenir des pièces cylindriques verticalement (enfin je suppose). Le truc nul, c'est que cet étau a 3 pattes prévues pour le brider, mais on ne peut en mettre que 2 dans les rainures de la table de la perceuse... ça doit bien aller pour percer de travers...


Place aux photos :

Bonjour ,

Les bricoles du jour : (pas grand chose en fait... )

Décabossage du carter du moteur
Mise en peinture
Remontage

Remplacement des 4 roulettes de la table de l'EMCO-8 (2 étaient fixes : c'était très pénible pour le déplacer)

Mise en place approximative des machines, histoire de leur trouver l'emplacement le plus pratique.
Le problème c'est la place... La remorque d'éclairage gène pour l'emplacement éventuel de l'étagère
Et impossible de la reculer : le SG2 devant a les freins grippés ; c'est la découverte du jour...
Ceux qui ont déjà purgé un SG2 à double circuit partagent déjà ma douleur... (on verra donc ça plus tard, au printemps ou après...).
Mais ça ne règle en rien le problème de place... au contraire, sachant que je dois encore rentrer un proto de polisseuse jamais terminé, et une cisaille à tôle...
Il va falloir malgré tout trouver une solution convenable... (réfléchissement... )


Place aux photos :


La finition de la fonderie du moteur me fait penser aux ateliers de construction Pakistanais...(
j'adore ces vidéos sur Y Tube : les types font des miracles avec rien, ils sont impressionnants (notamment en termes d'EPI... )


Il ne fonctionnera pas mieux, mais ne rouillera pas de sitôt



Et le voilà en place avec son carter décabossé





Vue plongeante en grand angle (pour ne pas avoir le reste du bordel sur la photo... Mouarffff !!! )

Les 2 tourets sont en tri, mais le MAPE à gauche n'est pas fonctionnel (pas eu le temps). il est intéressant car il a un dispositif pour affûter les forets (incomplet)

Le porte-outils de l'EMCO-8 est chez un copain : la partie en zamac qui tient la vis est tombée en poussière (peste du zinc). Heureusement la noix de la vis mère est en laiton : ouf !

Je suis très content de l'éclairage : on y voit mieux qu'en plein jour !



A mi-distance, c'est déjà un peu plus le souk...



Et quand on se retourne, c'est carrément l'enfer...

Merci !
J'avoue que je n'étais pas fier lors de la pose...
La girouette d'une main, la visseuse de l'autre, le bonhomme à 6 mètres en haut de l'échelle, avec les mollets qui claquent au vent et les genoux qui font bravo...

Ouais !

Qu'a-t'elle donc cette girouette ?
C'est un souvenir de mes beaux-parents : je l'ai démontée quand la maison a été vendue après le suicide par balle de mon Beau-père...

@ Bricoleur13 @Bricoleur_69 : oui probablement un souci de perspective : le nord est bien sur la même tige que le sud, et idem pour l'ouest et l'est sur l'autre tige. et j'ai orienté le nord avec une boussole avant de tout serrer.

Rien d'admirable dans le boulot effectué (mais merci ! ), surtout comparé à d'autres réalisations. En ce moment je prends un temps de dingue à tout trier (notamment la visserie toute mélangée). Et puis au bout d'un moment ça me gonfle tellement, que j'en vire une partie dans la caisse à ferraille... Je sais ç'est pas bien car la visserie c'est cher, mais bon, je ne vais pas y passer l'année (déjà plus d'une semaine que je trie...).

Cela dit, je commence à y voir plus clair et je vois surtout que ça va avoir du mal à tout rentrer...
Par conséquent, tout devra être sur roulettes (à part la fraiseuse), afin de pouvoir tout pousser pour rentrer le Toyota.
Ca ne sera pas très pratique, du moins dans un premier temps, tant que je ne n'aurai pas vendu la Mercedes qui tient une place de dingue (5.16m de long)