Re,
@SULREN ; inutile de te fatiguer à faire des gabarits de perçage, @cram71 a montré dans son premier message qu'il possède une fraiseuse et un plateau/mandrin diviseur
Ne t'inquiètes pas pour moi.
J'ai écrit ce petit bout de code en 2011 de mémoire, pour aider un membre de forum qui avait un tour Lorsh mais qui n'avait pas le budget pour acheter le plateau à trous, très cher. Je lui ai donc envoyé ce dessin des trous. Il a resservi pour d'autres depuis. Il suffit de modifier quelques lignes du code et il sort toutes les séries de trous qu'on veut.
Mon intention n'était pas du tout que
@cram71 s'en serve pour pointer ses trous au "
pointeau", à la barbare.
S'il en tombe là, je serais tellement peiné pour lui que j'envisagerais de percer cette roue à sa place, malgré le temps qui me manque.
Et bien sûr c'est parce que tu savais qu'il avait tout le matos d'un Usineux bien équipé, que tu as écrit.
Ici il ne s'agit pas de préparer une réponse à un appel d'offres pour restaurer une pièce de musée ou de refaire à l'identique avec les moyens de l'époque de sa création l'horloge de N.D. de Paris que la chute de la flèche a détruite, il faut aider une âme charitable peu ou pas équipée pour refaire fonctionner à PEU DE FRAIS une "ferraille" histoire de s'occuper et de faire plaisir à un propriétaire.
Tu as aussi écrit:
On ne meule pas du laiton dans ma conception de la mécanique.
Il y a mieux certes, mais a défaut des outils adaptés et pour éviter de se taper ces chevilles à la lime, on peut peut-être s'asseoir sur ce grand principe et pour une fois meuler du laiton.
Je viens d'aller faire un essai de meulage de fil laiton de 0,9 mm, donc plus petit encore que celui de notre discussion, parce que causer, ou gloser, c'est bien, mais montrer c'est mieux:
- Non pas à mon atelier d'horlogerie, mais celui de mécanique sur un petit touret à meuler.
- Non pas avec des petites meules d'horlogerie mais avec les premières meules de mécanique
qui me sont tombées sous la main,
et avec n'importe quel grain, juste pour voir: blanche gros grain, blanche grain très fin, verte pour carbure, diamantée gros grains.
Et le fil tenu à main levée, non pas au roule-goupille d'horloger, mais au mandrin à main de meccano.
On voit qu'il n'y a aucune difficulté à meuler un fil de laiton, sans le faire chauffer, même en travaillant à la barbare, et donc qu'avec des meules plus adaptées à l' horlogerie en particulier en diamètre, en concentricité, en grain, et sur du fil encore plus gros (1,2 au lieu de 0,9 mm),
n'importe qui obtiendrait des demi-chevilles parfaites.