C
Calamentran
Compagnon
Re-bonjour à tous
.../... car l'orientation des panneaux au soleil est loin d'être optimale durant toute la journée... Bonne observation, mais 2 remarques complémentaires à ce propos : ce qui compte le plus pour un panneau photovoltaïque, c'est l'éclairement, la quantité de lumière qu'il reçoit, c'est à dire que même s'il n'est pas orienté pile poil au soleil tout le long de sa course, il produira quand même encore pas mal. Les constructeurs de panneaux travaillent beaucoup sur la structure du verre de protection pour une meilleure transmission "multi-directionnelle" afin de limiter la réflexion des rayons incidents. Ce qui implique, malheureusement, une plus grande absorption de calories par le panneau, un cercle vicieux mais un bon challenge à relever en R&D.
A ce propos, bonne transition, ce qui compte aussi pour un panneau, c'est que sa production dégringole avec une température de fonctionnement trop importante. Il faut donc privilégier les solutions de pose qui favorisent le refroidissement, par exemple une bonne circulation de l'air sous le panneau. Ceci est un point important lors d'une intégration en toiture. On voit souvent des réalisations "vite fait - à pas cher" qui "ferment" par un solin le bas et/ou le haut des panneaux en contact avec les tuiles par exemple, ce qui a pour effet de limiter le débit d'air de circulation. Il faut donc être attentif sur ce point.
Beaucoup de grands champs photovoltaïques sont équipés de panneaux fixes, orientés sud et précisément selon la latitude du lieu en hauteur. Le bilan technico-économique en faveur de "tracker" (motorisation de type équatoriale) n'est pas avéré semble t-il à cause de investissement nécessaires et surtout à cause des surcoûts d'exploitation-maintenance capitalisés sur 20 ans par exemple.
.../... car l'orientation des panneaux au soleil est loin d'être optimale durant toute la journée... Bonne observation, mais 2 remarques complémentaires à ce propos : ce qui compte le plus pour un panneau photovoltaïque, c'est l'éclairement, la quantité de lumière qu'il reçoit, c'est à dire que même s'il n'est pas orienté pile poil au soleil tout le long de sa course, il produira quand même encore pas mal. Les constructeurs de panneaux travaillent beaucoup sur la structure du verre de protection pour une meilleure transmission "multi-directionnelle" afin de limiter la réflexion des rayons incidents. Ce qui implique, malheureusement, une plus grande absorption de calories par le panneau, un cercle vicieux mais un bon challenge à relever en R&D.
A ce propos, bonne transition, ce qui compte aussi pour un panneau, c'est que sa production dégringole avec une température de fonctionnement trop importante. Il faut donc privilégier les solutions de pose qui favorisent le refroidissement, par exemple une bonne circulation de l'air sous le panneau. Ceci est un point important lors d'une intégration en toiture. On voit souvent des réalisations "vite fait - à pas cher" qui "ferment" par un solin le bas et/ou le haut des panneaux en contact avec les tuiles par exemple, ce qui a pour effet de limiter le débit d'air de circulation. Il faut donc être attentif sur ce point.
Beaucoup de grands champs photovoltaïques sont équipés de panneaux fixes, orientés sud et précisément selon la latitude du lieu en hauteur. Le bilan technico-économique en faveur de "tracker" (motorisation de type équatoriale) n'est pas avéré semble t-il à cause de investissement nécessaires et surtout à cause des surcoûts d'exploitation-maintenance capitalisés sur 20 ans par exemple.