
yvonf
Compagnon
- 13 Fev 2007
- 693
- Essonne
- Auteur de la discussion
- #1
Hello les usineux 
En attendant de parachever mon précédent projet (j'attends des composants commandés loin là bas vers le soleil levant...), je m'attaque au suivant sur la liste (qui s'allonge naturellement tous les jours
) : la mise en place d'un pont élévateur FOG 449.
Après de nombreuses recherches sur internet, peu - pour ne pas dire pas, de description de ce genre de travail...
J'ai fait l'acquisition de ce pont sur lbc lorsque j'ai posé le carrelage dans mon garage : ce qui m'a permis de noyer le support dans la dalle et de poser le carrelage dessus pour limiter au maximum les obstacles !
L'engin avait été payé 800€, un peu cher effectivement pour un modèle fabriqué en 1987 sauf que le vendeur fournissait dans le lot deux noix en bronze neuves. Partir avec des éléments neufs me semble rassurant moi qui hésite toujours à me glisser sous une charge quel qu'elle soit !
Les colonnes attendaient - encombraient, depuis tout ce temps, le moment où leur tour viendrait !
Nous y sommes !
Donc la colonne principale (master
) est posée sur la table d'opération :
Le moteur :
Le fin de course supérieur :
La sécurité de synchronisation avec la colonne menée : un mécanisme assez simple basé sur la tension d'un câble qui relie les deux chariots. Ici le câble étant démonté, la came est en position perte de liaison - l'autre serait blocage du second chariot, la position de fonctionnement normal se trouvant logiquement au milieu
Et enfin le fin de course position basse (qui sera modifié pour tenir compte de l'enfouissement de la base).
Le coffret électrique est des plus simples :
Un bornier de raccordement :
Une protection thermique, deux contacteurs (montée / descente
), deux fusibles (
) et un énorme transfo de commande (48v selon la doc).
Tout cela est rapidement retiré et stocké.
La colonne est retournée et début du démontage mécanique !
Le volant d'entrainement est fixé par un écrou à créneau (qui assure aussi le réglage en hauteur de la vis) :
Après avoir retiré l'écrou, le volant et une bague entretoise, le palier supérieur est là !
Une fois les quatre boulons dévissés, il se retire facilement :
On aperçoit la poulie qui est solidaire du pion (en forme de diabolo) qui assure le contrôle du câble :
Le chariot est "assuré" (c'est de la mécanique "lourde" pour un amateur comme moi !) :
Et en manœuvrant la vis à la main (via le pignon de chaine de synchronisation inférieur), conjugué au fait que l'établi est sur roulettes, petit à petit le chariot sort !
.......................
En attendant de parachever mon précédent projet (j'attends des composants commandés loin là bas vers le soleil levant...), je m'attaque au suivant sur la liste (qui s'allonge naturellement tous les jours
Après de nombreuses recherches sur internet, peu - pour ne pas dire pas, de description de ce genre de travail...
J'ai fait l'acquisition de ce pont sur lbc lorsque j'ai posé le carrelage dans mon garage : ce qui m'a permis de noyer le support dans la dalle et de poser le carrelage dessus pour limiter au maximum les obstacles !
L'engin avait été payé 800€, un peu cher effectivement pour un modèle fabriqué en 1987 sauf que le vendeur fournissait dans le lot deux noix en bronze neuves. Partir avec des éléments neufs me semble rassurant moi qui hésite toujours à me glisser sous une charge quel qu'elle soit !
Les colonnes attendaient - encombraient, depuis tout ce temps, le moment où leur tour viendrait !
Nous y sommes !
Donc la colonne principale (master
Le moteur :
Le fin de course supérieur :
La sécurité de synchronisation avec la colonne menée : un mécanisme assez simple basé sur la tension d'un câble qui relie les deux chariots. Ici le câble étant démonté, la came est en position perte de liaison - l'autre serait blocage du second chariot, la position de fonctionnement normal se trouvant logiquement au milieu
Et enfin le fin de course position basse (qui sera modifié pour tenir compte de l'enfouissement de la base).
Le coffret électrique est des plus simples :
Un bornier de raccordement :
Une protection thermique, deux contacteurs (montée / descente
Tout cela est rapidement retiré et stocké.
La colonne est retournée et début du démontage mécanique !
Le volant d'entrainement est fixé par un écrou à créneau (qui assure aussi le réglage en hauteur de la vis) :
Après avoir retiré l'écrou, le volant et une bague entretoise, le palier supérieur est là !
Une fois les quatre boulons dévissés, il se retire facilement :
On aperçoit la poulie qui est solidaire du pion (en forme de diabolo) qui assure le contrôle du câble :
Le chariot est "assuré" (c'est de la mécanique "lourde" pour un amateur comme moi !) :
Et en manœuvrant la vis à la main (via le pignon de chaine de synchronisation inférieur), conjugué au fait que l'établi est sur roulettes, petit à petit le chariot sort !
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