M
mitcheli
Compagnon
petite série de mécanique moteur oublié
1er;
Le Gnome Omega
Principe de fonctionnement Du Gnome Omega
En 1909 le moteur Gnome Omega est inventé. Il se distingue des autres moteurs car sa soupape d'admission est situé sur le piston. Le siège de soupape d’admission se visse sur les chapes, emprisonnant le fond du piston par l’intermédiaire d’un joint. La soupape est soustraite à l’action de la force centrifuge par deux contrepoids, équilibrés par des ressorts.
Sur le moteur de 1910, les soupapes d’échappement sont commandées par un double culbuteur et réglées pour être équilibrées par la force centrifuge. Sur les versions ultérieures (1912), la soupape est rappelée par des ressorts à lames ; chaque soupape est commandée par l’intermédiaire d’un culbuteur et d'une tige de longueur réglable. Des contre- poids annulent l’effet de la force centrifuge sur la tige de commande. (Source http://www.hydroretro.net)
En phase d'admission, le piston est au point mort haut, la soupape d'échappement est fermée. Lorsque le piston se déplace vers le bas une dépression se forme dans le cylindre, ce qui oblige la soupape d'admission placée sur le piston à s'ouvrir et le mélange air/carburant/huile de ricin est aspiré dans le cylindre. Au point mort bas la soupape se ferme. Le piston en remontant comprime le mélange et l'étincelle d'allumage se produit juste avant le point mort haut. La course de puissance commence, le piston étant forcé vers le bas par la pression des gaz en expansion redescend. Lorsque le piston est proche du point bas de sa course, la soupape d'échappement s'ouvre et laisse les gaz chauds s'échapper.
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Le Gnome Omega
Principe de fonctionnement Du Gnome Omega
En 1909 le moteur Gnome Omega est inventé. Il se distingue des autres moteurs car sa soupape d'admission est situé sur le piston. Le siège de soupape d’admission se visse sur les chapes, emprisonnant le fond du piston par l’intermédiaire d’un joint. La soupape est soustraite à l’action de la force centrifuge par deux contrepoids, équilibrés par des ressorts.
Sur le moteur de 1910, les soupapes d’échappement sont commandées par un double culbuteur et réglées pour être équilibrées par la force centrifuge. Sur les versions ultérieures (1912), la soupape est rappelée par des ressorts à lames ; chaque soupape est commandée par l’intermédiaire d’un culbuteur et d'une tige de longueur réglable. Des contre- poids annulent l’effet de la force centrifuge sur la tige de commande. (Source http://www.hydroretro.net)
En phase d'admission, le piston est au point mort haut, la soupape d'échappement est fermée. Lorsque le piston se déplace vers le bas une dépression se forme dans le cylindre, ce qui oblige la soupape d'admission placée sur le piston à s'ouvrir et le mélange air/carburant/huile de ricin est aspiré dans le cylindre. Au point mort bas la soupape se ferme. Le piston en remontant comprime le mélange et l'étincelle d'allumage se produit juste avant le point mort haut. La course de puissance commence, le piston étant forcé vers le bas par la pression des gaz en expansion redescend. Lorsque le piston est proche du point bas de sa course, la soupape d'échappement s'ouvre et laisse les gaz chauds s'échapper.