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Bonjour,
Oui essai avec du corindon de sablage ça marche bien pour matifier les pièces d'aluminium
Évite le sable classique qui après mes essai ne donne pas de résultats satisfaisant
je n'avais pas vu passer ce post sans quoi je vous aurais rediriger plus tot vers l'une de mes pages ou j'explicite la realisation de mon trumbler (merci d'ailleurs a ppbalou et charly57 d'avoir fait suivre l'adresse)
Voci qlqs photo de la "bete"
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Je n'ai pas complete ma page mais depuis la realisation voici une 10aine d'annees, j'ai remplace la cocotte minute en alu par le meme modele mais en inox ... car a force de tourner, l'alu de la cocotte se transforme en alumine qui en plus de noircir et donc de "polluer" le media, a tendance a rendre les etuis moins "glissants" et ca n'aide pas quand on les passe aux dies de recalibrage ...
L'utilisation de coquilles de noix pilees est ideale pour les etuis surtout quand on y ajoute un peu de Sidol ( Miror pour les Francais). Par contre, il faut necessairement adapte le media si on veut "polir" d'autres choses que des etuis et la .... je laisse la parole aux specialistes.
Pour ce qui est de la realisation de la cocotte vibrante, si vous avez des questions, c'est avec grand plaisir que j'y repondrai.
Salut à tous, je me permets un petit déterrage de topic car beaucoup d'informations sont deja ici et je ne pense pas nécessaire d'ouvrir un nouveau sujet.
Voici mon cahier des charges:
1. polissage de pièces en alu (principalement du 7075) (pour anodisation ou en l'état)
2. polissage de pièces en acier (tout type de nuance mais pas d'inox) en vue de brunissage ou en l'état
3. Ebavurage de pièces sortant d'usinage
4. les pièces ne seront pas plus grande que 100*100*100 pour les prismes et 150*80 pour les ronds
et les questions qui vont avec:
1. Quel type de machine privilégier ? celle à vibration ou à rotation du tonneau?
2. Quel média utiliser pour chaque type de pièces: je pensais à avoir un média pour l'alu et un pour l'acier. Faut prévoir un média "d'ébauche" et un de "finition" pour chaque ?
3. A vue d’œil, quel serait mon volume utile nécessaire ?
Biscotte, si tu penses que mon message pollue ton post, dis le moi et je ferais un sujet séparé
Moteur de tournebroche pour avoir un mouvement lent,
mais avec alim de labo et accouplement bien usiné, la classe !
Pour le bocal, certains bocaux de confiture, condiments, moutarde ...
sont de section carrée, hexagonale ou octogonale, c'est encore mieux pour le brassage.
Et le bocal emballé dans une ou plusieurs vieilles chaussettes, ça réduit un peu le bruit.
Extrait d'un livre "coloration des métaux" de 1947, chapitre sur le décapage :
Pour les petits objets, il est économique et commode de remplacer le grattebossage par un sassage, ou agitation des pièces mélangées de son, de sciure ou de sable fin. On emploie le sable pour dérouiller les chaînes gravées, le son ou la sciure pour sécher en les lustrant les pièces venant d'être argentées ou dorées.
Le sassage se fait d'ordinaire dans un sac de toile long d'environ un mètre, où on introduit le mélange, et qui est ensuite balancé par l'ouvrier tenant l'une des extrémités à chaque main : les bras sont jetés tantôt à gauche, tantêt à droite, de façon que chaque bout de sac alternalivement soit en haut et en bas. On peut aussi sasser mécaniquement à l'aide d'appareils divers : sasseuses ou tonneaux à polir.
Ces « tonneaux » cylindriques ou polyédriques, tournant horizontalement autour de leur axe, sont munis d’une porte par laquelle on introduit abrasif et pièces à polir, une manivelle ou un embrayage permettant de faire lentement tourner le tout
Pour polir des petites pièces de fer estampées, par exemple, on place dans un tonneau de 50 cm de diamètre et 40 cm de long, 30 à 40-kg d'objets métalliques,
12 à 15 kg de sable fin et de l'eau en quantité suffisante pour recouvrir le tout d'une couche de 4 à 5 cm. On fait tourner ensuite sans dépasser quarante tours à la minute. Au bout de 21 heures, on opère trois nouveaux polissages, l'un avec 15 litres sciure, 3 kg rouge à polir et de l'eau (18 heures de rotation), l'autre avec 30 litres de sciure et 500 gr, d'un mélange suif et charbon en poudre (dix heures), le dernier avec de la sciure seulement.
NB le rouge à polir est un produit de polissage utilisé en bijouterie, constitué je crois d'oxyde de fer
"du broyat de coquilles de noix? "
bonsoir
et comment prépare-t-on ce produit? faut-il simplement casser les coquilles ou faut-il les broyer mais avec quel moyen?
j'ai un bol vibrant qui devrait aussi me permettre d'ébavurer des pièces mécaniques ou de les polir, mais pour le moment je n'ai pas encore réussi le polissage de pièces aluminium, pourtant j'ai utilisé des médias coniques, des billes, avec de l'eau ou de l'huile, ce pendant une journée mais tout ce que j'obtiens ce sont des pièces d'un gris mat!