G
gaston48
Compagnon
Bonjour,
2 petits exemples d’assemblage à la soudure TIG :
Il s’agit ici de soudures sans apport de matière, très discrètes, un peu comme une brasure,
mais avec quasiment aucune déformation ou agression thermique.
A éviter sur des structures très sollicitées, mais idéale pour assembler des pièces
massives pré-usinées : montages d’usinage, accessoires de M.O. etc.
L’électrode est affûtée avec un angle très effilé, dans les 15°, terminée par un cone
plus obtus de 90° sur un diamètre de moins d’1 mm.
Elle est maintenue à très faible distance de la matière.
Il faut très bien voir, donc une partie du champs de vision du masque est équipée de loupes grossissement 2.
Sinon le geste n’est pas très difficile, car la vision et le déplacement ne sont pas perturbés par un apport de matière.
Pour les 2 exemples, le courant est de 90 A.
Matières aciers doux étirés ou laminés usinés.
Un problème de crépitement du bain peut apparaître pour des aciers non calmés (oxydes de fer inclus)
et qui limite ce genre de soudure, malheureusement ...
Il oblige à faire, dans ce cas, un apport de matière additivé en désoxydant.
C’est ce qui fait la différence entre une baguette d’apport de soudure autogène avec celle pour Tig.
Celle pour Tig contient du Si du Mn ou de l’Al.
Par expérience, l’acier étiré est bien calmé, mais la surface d’un laminé, même bien décapé
n’est pas calmé, c’est un peu logique. Si possible l’usiner sur quelques dixièmes.
Le premier exemple, de couleur claire, est microbillé après soudure. le cube est assemblé sur une tôle de 2 mm.
l’assemblage de « masse » très différente est possible, il faut simplement plus traîner sur la masse la plus forte...
Le deuxième exemple foncé est microbillé et bronzé au Brunifast après soudure.
2 petits exemples d’assemblage à la soudure TIG :
Il s’agit ici de soudures sans apport de matière, très discrètes, un peu comme une brasure,
mais avec quasiment aucune déformation ou agression thermique.
A éviter sur des structures très sollicitées, mais idéale pour assembler des pièces
massives pré-usinées : montages d’usinage, accessoires de M.O. etc.
L’électrode est affûtée avec un angle très effilé, dans les 15°, terminée par un cone
plus obtus de 90° sur un diamètre de moins d’1 mm.
Elle est maintenue à très faible distance de la matière.
Il faut très bien voir, donc une partie du champs de vision du masque est équipée de loupes grossissement 2.
Sinon le geste n’est pas très difficile, car la vision et le déplacement ne sont pas perturbés par un apport de matière.
Pour les 2 exemples, le courant est de 90 A.
Matières aciers doux étirés ou laminés usinés.
Un problème de crépitement du bain peut apparaître pour des aciers non calmés (oxydes de fer inclus)
et qui limite ce genre de soudure, malheureusement ...
Il oblige à faire, dans ce cas, un apport de matière additivé en désoxydant.
C’est ce qui fait la différence entre une baguette d’apport de soudure autogène avec celle pour Tig.
Celle pour Tig contient du Si du Mn ou de l’Al.
Par expérience, l’acier étiré est bien calmé, mais la surface d’un laminé, même bien décapé
n’est pas calmé, c’est un peu logique. Si possible l’usiner sur quelques dixièmes.
Le premier exemple, de couleur claire, est microbillé après soudure. le cube est assemblé sur une tôle de 2 mm.
l’assemblage de « masse » très différente est possible, il faut simplement plus traîner sur la masse la plus forte...
Le deuxième exemple foncé est microbillé et bronzé au Brunifast après soudure.