Surintensité demarrage transfo

  • Auteur de la discussion midodiy
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M

midodiy

Compagnon
je vais pourtant le faire parce que je suis têtu et nostalgique de la conception a transistor discret , mais le microcontrôleur est vraiment la solution d'avenir
Moi aussi j'ai ete long a m'y mettre, il sera interessant de voir la difference et non ce n'est pas la solution d'avenir c'est la solution d'aujourd'hui voir d'hier, aujourd'hui on ne jure plus que par les arduino. j'y ai encore pas touché mais je me vois mal branché un arduino directement sur le secteur et puis je cause pas le C...
 
M

moissan

Compagnon
pic ou arduino ce n'est que 2 microcontroleur different

l'avantage des tout petit microcontroleur comme les petit modele de pic c'est que c'est economique pour faire une fonction simple ... pour alumer un transfo un arduino serait un marteau pilon pour ecraser une mouche

un gros microcontroleur pousse a mettre plusieurs fonction dans le même microcontroleur : c'est dangereux quand on gere la puissance , un bug dans un recoin des programmes peut tout griller ... avec un petit pic pour une fonction simple , on a la même securité qu'en analogique : un fois qu'une fonction est au point elle ne peut etre perturbé par les autres fonction d'un autre niveau
 
T

tronix

Compagnon
Bonjour,

j'avais fait il y a déjà quelques années un système d'extinction automatique et progressive pour lampe de chevet d'enfant, avec un PIC 10. Le schéma est en gros celui de cette note http://ww1.microchip.com/downloads/en/AppNotes/91094A.pdf
Cela fonctionne très bien et une solution analogique serait bien plus complexe. Il vaut mieux partir d'un PIC12 qui autorise le mode debug. Programmer en C est aussi plus facile qu'en assembleur. Pour la mise au point, il faut être prudent, faire le maximum en basse tension isolée (en particulier avec le debugger), et continuer ensuite sans debugger avec si possible des sondes différentielles.
J'avais d'abord écrit le programme en assembleur, laborieusement (je n'aime pas l'assembleur des PIC, que ce soit du 10, du 12 ou du 32...), puis réécrit en C, beaucoup plus vite, et il ne prend pas plus de place, très bien optimisé par le compilateur.
 
Dernière édition:
M

midodiy

Compagnon
Les petits pic 12f629 que j'utilise, je les ai trouvé dans des ampoules fluocompacte osram, c'etait des ampoules qui s'eteignaient toute seule si il y a avait assez de lumiere ambiante(avec un petit capteur a la base de l'ampoule).
Je programme en basic avec un compillateur "proton+"
Aujourd'hui quelques essais de premagnetisation comme dans le pdf (voir message #5), juste des bouts d'alternance positive jusqu'a avoir un courant de 1A puis on envoi la sauce en commençant à 90°,marche pas ...
 
Dernière édition:
M

midodiy

Compagnon
Ah si ça marche, il ne faut pas envoyer la sauce a 90° mais apres, ça rejoint ce que disait Moissan.
Premiere alternance je commande apres 8.33ms apres le zero de tension(pour avoir la tension moitié du max de sinus)
2eme alternance ------------------apres 7ms
3eme-------------------------------apres 7ms
Ces 3 premieres alternances commandés uniquement en positif constituent une premagnetisation au cas où le champ residuel dans le transfo serait dans l'autre sens. Avec 7ms de retard, j'ai 1A donc j'envoi la sauce apres 7ms (a 5ms, on serait à 90°)
IMG_20161103_173031.jpg

et un coup sur 2 j'obtient ça:
IMG_20161103_172903.jpg
 
M

midodiy

Compagnon
J'ai fait une carte tournée vers la pratique. Je suis parti du programme gradation en faisant une progression plus fine etalé sur 16 periodes donc un demarrage en 0.32s. A la fin de cette periode, un relais est actionné.
Le demarrage peut etre commandé par un inter si la carte reste sous tension ou à la mise sous tension de la carte.
IMG_20190316_103549.jpg

IMG_20190316_104410.jpg

La trace violette, c'est l'apparition de la tension d'alim 5V (à la mise sous tension)
La trace jaune c'est la tension aux bornes du triac donc les plats correspondent aux conductions, on ne voit que le debut de la gradation.
IMG_20190316_103703.jpg
 
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J

Jope004

Compagnon
Bonjour,

Merci pour tous ces essais bien utiles pour réconcilier la théorie avec la pratique !
 
M

MRG-NK

Compagnon
Bonjour,
j'ai une solution simple : ajouter une résistance en série sur le primaire, un contact de relais court-circuitant la résistance. Une simple temporisation de QQ secondes suffit.
Concerne principalement les transfos toriques, ceux de puissance, ceux qui ont plusieurs secondaires.

Marche aussi avec résistance série coté secondaire, en particulier celui qui alimente de gros condensateurs, qui doit débiter un fort courant.
Mais ne permet pas d'éviter les transitoires crées par le primaire.... en revanche mois de problème d'isolement, de sécurité : on ne touche pas au 230 V
 

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