Simulateur de chocs

  • Auteur de la discussion quentin21
  • Date de début
Q

quentin21

Nouveau
J'essais de faire au mieux avec ce que l'entreprise m'a donné comme "impératifs".
Pour les galets je suis bien conscient que l'effort appliqué sur leur tour sera bien mieux distribué sur la surface (je ne sais pas si c'est très compréhensible...), mais la résistance de la chaine est rarement prise en défaut, les endroits les plus critiques sont les maillons à proximité du fermoir ou si il y a un bijoux (maillons pour l'installer dans la chaine), aussi le maillon de sécurité vers le fermoir qui parfois est mal refermé et trop "lâche".
L'entreprise souhaiterai une seule machine pour réaliser l'essais et qu'elle soit un minimum compact (pas plus de 80cm*80*80).
Enfin j'ai mis "choc" car je souhaitais me rapprocher au plus de l'essais d'origine ou il est dit "tirer un coup sec". Et je voyais plus cela comme un choc que comme un essais de traction à vitesse constante.
 
Q

quentin21

Nouveau
stanloc a dit:
De ce que j'ai compris, voici en dessin ce que moi je ferais :
Une potence avec le bras réglable en hauteur pour adapter le montage aux différences de longueur
A hauteur fixe, un électroaimant annulaire et fixée à l'extrémité des chaînes une cordelette de longueur prédéterminée selon la puissance du choc que l'on veut, cela en rapport avec bien sûr la masse accrochée en bout.
On attache la chaîne à la potence et la cordelette à la chaîne et [highlight=#ffff00]on suspend la masse gentiment[/highlight]. Si rien ne casse on vient coller la masse magnétique à l'électroaimant. La longueur libre de l'ensemble chaîne + cordelette détermine la hauteur de chute de la masse et l'intensité du choc. CQFD
Stan
N.B. :La cordelette est la seule partie qui doit bouger lorsqu'on remonte la masse. Sa nature peut d'ailleurs changer les conditions du test au choc.

[attachment=0]Essai traction.jpg[/attachment]

Stanloc, ton idée est pas mal, j'y avais pensé aussi au début, mais le problème est la partie ou l'on suspend la masse gentiment, cela dépendra des opératrices, et l'entreprise souhaiterait que le test soit toujours fait de la même façon quelque soit la personne l'utilisant... Ils sont plutôt contraignants ^^
 
S

stanloc

Compagnon
Pour éliminer le paramètre opérateur il faut automatiser mais cela va drôlement compliquer.
De mon temps on formait les opérateurs (trices) pour que le travail soit fait correctement. Je sais aujourd'hui les Prud'Hommes sont surchargés par le nombre de plaignants.
Je croyais avoir lu que les femmes sont plus douces que les hommes, non ?????
Stan
 
Q

quentin21

Nouveau
Et oui Stan, l'automatisation va tout compliquer et c'est vraiment quelque chose que je n'aime guère plus que celà :)
Sinon pour la douceur des femmes, c'est un autre débat que certains ont put essayer dans leur vie personnelle 8-) mais ça n'est pas notre sujet , en restant sur les opératrices qualité, il y en a une qui est une vraie brute de l'avis de son chef et de ses collègues, et une autre qui serait plutôt trop douce, donc tout dépend.
 
M

moissan

Compagnon
a mon avis c'est uniquement l'essai de traction simple qui est significatif pour un collier : ça tombe bien c'est le plus facile a faire

mais il reste a le prouver dans ton entreprise ou il n'y a apparemment pas de personne competente pour tout comprendre

une solution pour prouver les choses : emprunter ou louer un materiel permetant d'enregistrer l'effort sur une chaine pendant un arrachage d'une chaine autour du coup de quelqu'un

a mon avis ça prouvera que l'effort ou ça casse est proche de l'essai en traction simple et que la notion de choc est inutile dans ce cas

il est aussi possible de prouver qu'il n'y a pas de choc par calcul theorique : mesurer la rigidité de l'appui du collier sur le coup d'une personne : de combien le corps se tasse avant d'avoir l'effort de rupture ... et comparer avec l'inertie de la main et du bras de celui qui a pris de l'elan pour faire un choc
 
S

stanloc

Compagnon
La notion de choc est la plupart du temps une notion qualitative. Tout ça se résume à une notion d'accélération/décélération. C'est comme les notions d'oxydation, combustion, explosion et détonation cela se résume à une notion de vitesse d'une réaction et ensuite au moins dans les 3 derniers cas de vitesse de propagation du front de flamme. Dans le cas présent à la réflexion il suffit de faire l'essai de la chute de la masse un point c'est tout.
Stan
 

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