M
moissan
Compagnon
JeanYves a dit:
ce lien ne marchait pas parce que le forum ne met pas la derniere parenthese en bleu , en utilisant la balise url ça marche
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J
JeanYves
Compagnon
Dernière édition par un modérateur:
V
valoris
Compagnon
Bonsoir à tous,
Juste pour fixer les idées (surtout les miennes).
Petite Histoire du micromètre,
L'un des tout premier à utiliser le terme, micromètre fut Galilée en 1609-1610. Il construisit un dispositif de règle graduée montée sur une lunette astronomique, pour mesurer les corps célestes. Toute fois sa lunette ne comportait aucun réticule gravé sur ces lentilles, ce qui ne permettait pas de mesures précise.
Cependant, une araignée vint à passer par là, et trouvant le logis fort à sa convenance. Elle y tissa sa toile, juste au foyer médiant de deux lentilles.
Un soir Galilée reprenant ses travaux fut surpris et émerveillé du remarquable travail de cette exceptionnelle assistante. Grâce à ce renversant ouvrage, il pouvait enfin effectuer des mesures astronomiques comparatives précises (authentique).
Mais croyez-vous que la perfide Albion aller laisser la paternité d'une si importante invention à un latino, fut-il célèbre, et non.
Elle se dépêcha d'en attribuer la paternité à un certain Villiam Gascoigne astronome de son état qui construisit un dispositif de mesure astronomique à vis et disque gradué en 1612.
Sous d'autre forme cette invention fut revendiquée et attribuée à beaucoup d'autre .
Adrien Azout - micromètre à vis 1564-1642, première utilisation d'une échelle graduée sur une lunette astronomique.
M. Huyghens - 1717 micromètre astronomique.
Micromètre circulaire 1745.
Quant au Micromètre d'épaisseur, il fut inventé en 1848 par Jean-Louis Palmer, l'instrument de précision qui porte son nom sert à la mesure des épaisseurs.
Un étrier rigide en forme de U comporte à l'une de ses extrémités une touche fixe, l'enclume, formant butée, contre laquelle on applique la face de la pièce à mesurer. À l'autre extrémité de l'étrier se trouve l'écrou fixe dans lequel pénètre une vis au pas micrométrique. Laquelle se terminée par une touche mobile qui vient buter sur la pièce à mesurer. Le corps formant écrou comporte des graduations millimétriques permettant de compter les tours, 1 millimètre correspondant généralement à deux tours. Un tambour solidaire de la vis est gradué en cinquante parties égales. Un dispositif à friction permet d'obtenir, quel que soit l'opérateur, la même valeur de serrage, et par conséquent une cote mesurée constante; ce qui n'est pas le cas avec un pied à coulisse.
Voici pour sa description figurant dans plusieurs ouvrages.
Le terme micromètre est un terme générique qui englobe tous les dispositifs de mesure à vis et à tambour gradué. Un micromètre d'épaisseur est un PALMER, pour ma part, c'est un hommage que je rends à son inventeur.
Vous l'appellerez comme cela vous convient.
Salutations cordiales.
Valoris
Juste pour fixer les idées (surtout les miennes).
Petite Histoire du micromètre,
L'un des tout premier à utiliser le terme, micromètre fut Galilée en 1609-1610. Il construisit un dispositif de règle graduée montée sur une lunette astronomique, pour mesurer les corps célestes. Toute fois sa lunette ne comportait aucun réticule gravé sur ces lentilles, ce qui ne permettait pas de mesures précise.
Cependant, une araignée vint à passer par là, et trouvant le logis fort à sa convenance. Elle y tissa sa toile, juste au foyer médiant de deux lentilles.
Un soir Galilée reprenant ses travaux fut surpris et émerveillé du remarquable travail de cette exceptionnelle assistante. Grâce à ce renversant ouvrage, il pouvait enfin effectuer des mesures astronomiques comparatives précises (authentique).
Mais croyez-vous que la perfide Albion aller laisser la paternité d'une si importante invention à un latino, fut-il célèbre, et non.
Elle se dépêcha d'en attribuer la paternité à un certain Villiam Gascoigne astronome de son état qui construisit un dispositif de mesure astronomique à vis et disque gradué en 1612.
Sous d'autre forme cette invention fut revendiquée et attribuée à beaucoup d'autre .
Adrien Azout - micromètre à vis 1564-1642, première utilisation d'une échelle graduée sur une lunette astronomique.
M. Huyghens - 1717 micromètre astronomique.
Micromètre circulaire 1745.
Quant au Micromètre d'épaisseur, il fut inventé en 1848 par Jean-Louis Palmer, l'instrument de précision qui porte son nom sert à la mesure des épaisseurs.
Un étrier rigide en forme de U comporte à l'une de ses extrémités une touche fixe, l'enclume, formant butée, contre laquelle on applique la face de la pièce à mesurer. À l'autre extrémité de l'étrier se trouve l'écrou fixe dans lequel pénètre une vis au pas micrométrique. Laquelle se terminée par une touche mobile qui vient buter sur la pièce à mesurer. Le corps formant écrou comporte des graduations millimétriques permettant de compter les tours, 1 millimètre correspondant généralement à deux tours. Un tambour solidaire de la vis est gradué en cinquante parties égales. Un dispositif à friction permet d'obtenir, quel que soit l'opérateur, la même valeur de serrage, et par conséquent une cote mesurée constante; ce qui n'est pas le cas avec un pied à coulisse.
Voici pour sa description figurant dans plusieurs ouvrages.
Le terme micromètre est un terme générique qui englobe tous les dispositifs de mesure à vis et à tambour gradué. Un micromètre d'épaisseur est un PALMER, pour ma part, c'est un hommage que je rends à son inventeur.
Vous l'appellerez comme cela vous convient.
Salutations cordiales.
Valoris
C
christophe charton
Nouveau
Et le tampon....c' est avant le micromètre.. entre entre pas...... il est toujours utilisé chez nous , tu le rentre en étant pil centré sinon la mesure est fausse et tu le sort à la masse...... le micromètre 
ou "palmer " nécessite d' avoir une référence à un moment .... pour l' talonner.... ensuite la dénomination c' est pas très grave le tout c' est de lire les 5 microns qui t' empêche de faite un bon assemblage ..!!
ou "palmer " nécessite d' avoir une référence à un moment .... pour l' talonner.... ensuite la dénomination c' est pas très grave le tout c' est de lire les 5 microns qui t' empêche de faite un bon assemblage ..!!
P
pierrepmx
Compagnon
Salut,
le tampon est venu avec "l'interchangeabilité" des pièces dans l'industrie.
Ça n'a pas précédé le palmer de beaucoup d'années, et certaines techniques de jauges de contrôle sont venues beaucoup plus tard.
Par exemple le tampon double "bon-mauvais" (Go No-Go) a été inventé par Henry Leyland un peu avant 1900 : le but : permettre à des ouvrier sans qualification de réaliser un travail d'extrême précision... sans même savoir ce qu'est un palmer!
La nécessité de mettre des ouvriers non qualifié est directement lié à l'explosion de l'industrie automobile, et en relation avec les travaux de Taylor (travail à la chaîne, employés relativement peu qualifiés sur machines hautement spécialisées, etc...)
On est à Detroit, et Leiland sera un des pionniers de la "Motor City".
Il créera une société de fabrication d'automobiles qui prendra le nom du fondateur de la ville, un français nommé Cadillac.
Pour la petite histoire, Leiland avait travaillé chez Browne&Sharpe.
Je trouve l'intro de sa notice Wikipédia est assez savoureuse :
D'origine quakers, il est un républicain convaincu et mène une existence rigoureuse sans tabac ni alcool.
Son image reste celle d'un patriarche parcourant son usine avec un comparateur dans une main et une bible dans l'autre, toujours prêt à admonester un sermon à l'ouvrier qui n'aurait pas su réaliser son ouvrage correctement.
Pour lui, la route de l'Enfer devait être pavée de côtes mal tenues !
le tampon est venu avec "l'interchangeabilité" des pièces dans l'industrie.
Ça n'a pas précédé le palmer de beaucoup d'années, et certaines techniques de jauges de contrôle sont venues beaucoup plus tard.
Par exemple le tampon double "bon-mauvais" (Go No-Go) a été inventé par Henry Leyland un peu avant 1900 : le but : permettre à des ouvrier sans qualification de réaliser un travail d'extrême précision... sans même savoir ce qu'est un palmer!
La nécessité de mettre des ouvriers non qualifié est directement lié à l'explosion de l'industrie automobile, et en relation avec les travaux de Taylor (travail à la chaîne, employés relativement peu qualifiés sur machines hautement spécialisées, etc...)
On est à Detroit, et Leiland sera un des pionniers de la "Motor City".
Il créera une société de fabrication d'automobiles qui prendra le nom du fondateur de la ville, un français nommé Cadillac.
Pour la petite histoire, Leiland avait travaillé chez Browne&Sharpe.
Je trouve l'intro de sa notice Wikipédia est assez savoureuse :
D'origine quakers, il est un républicain convaincu et mène une existence rigoureuse sans tabac ni alcool.
Son image reste celle d'un patriarche parcourant son usine avec un comparateur dans une main et une bible dans l'autre, toujours prêt à admonester un sermon à l'ouvrier qui n'aurait pas su réaliser son ouvrage correctement.
Pour lui, la route de l'Enfer devait être pavée de côtes mal tenues !
J
JeanYves
Compagnon
Bsr ,
Comprend pas bien la remarque ? , mais bon !
Ben oui le tampon est utilisé depuis des lustres , et il faut aussi le verifier lui , avec un systeme micrometrique ! .
C'est un AUTRE moyen de mesure utilisé en travail de serie .
entre /entre-pas : ( utilisons notre culture ! ) c'est uniquement pour savoir si c'est bon ou mauvais !
Comprend pas bien la remarque ? , mais bon !
Ben oui le tampon est utilisé depuis des lustres , et il faut aussi le verifier lui , avec un systeme micrometrique ! .
C'est un AUTRE moyen de mesure utilisé en travail de serie .
entre /entre-pas : ( utilisons notre culture ! ) c'est uniquement pour savoir si c'est bon ou mauvais !
T
Tier-I
Compagnon
Bonjour,
Je viens de lire lire la suite de vos commentaires sur ma demande... Plein de détails savoureux et instructifs...
Pour parfaire mon instruction, pourriez-vous m'expliquer ce que vous appelez un tampon ? Une illustration serait appréciée.
Par avance, merci.
Bonne semaine à tous.
Thierry
Je viens de lire lire la suite de vos commentaires sur ma demande... Plein de détails savoureux et instructifs...
Pour parfaire mon instruction, pourriez-vous m'expliquer ce que vous appelez un tampon ? Une illustration serait appréciée.
Par avance, merci.
Bonne semaine à tous.
Thierry
J
JeanYves
Compagnon
Bjr ,
Un tampon , souvent cylindrique , qui peu aussi etre fileté par exemple , sert à verifier les dimensions Ø d'un trou cylindrique , d'un taraudage ...
Un tampon , souvent cylindrique , qui peu aussi etre fileté par exemple , sert à verifier les dimensions Ø d'un trou cylindrique , d'un taraudage ...
B
brise-copeaux
Compagnon
Tier-I a dit:Bonjour,
Je viens de lire lire la suite de vos commentaires sur ma demande... Plein de détails savoureux et instructifs...
Pour parfaire mon instruction, pourriez-vous m'expliquer ce que vous appelez un tampon ? Une illustration serait appréciée.
Par avance, merci.
Bonne semaine à tous.
Thierry
Salut,
Tout est expliquer sur cette page...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Calibre_%C3%A0_limites
@ +
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V
valoris
Compagnon
Bien le bonjour à tous,
Petite histoire des tentatives de rationalisation et de standardisation des moyens de production dans l'industrie.
Depuis la nuit des temps le moteur du progrès de bien des sociétés est lié à la fabrication des armes. D'abord pour se nourrir, arme de chasse, ensuite pour se protéger, détournement des armes de chasse, puis enfin pour conquérir de nouveaux territoires.
En France la première réelle rationalisation et standardisation des moyens de production quasi industriels est conçu à l'initiative du sieur, Jean-Baptiste Vaquette de Gribeauval, en 1764.
Où nommé inspecteur de l'artillerie, promu lieutenant général par le marquis de Choiseul, alors premier ministre de Louis XV, il participe, dès 1765, à la modernisation du corps de l’artillerie.
Il fait éprouver à Strasbourg des pièces légères de bataille et démontre qu'elles durent aussi longtemps et ont des portées identiques aux lourdes pièces de l'ancienne ordonnance de 1732 du général Jean-Florent de Vallière.
Gribeauval s’attache à rationaliser l'artillerie à la rendre à la fois plus mobile et facilement réparable par l'interchangeabilité des pièces.
Par ses travaux de rationalisation des dimensions, des tolérances, et l'utilisation d'instruments de précision et de gabarits de contrôle pour la réception des pièces, Gribeauval, peut être considéré comme le père du contrôle qualité moderne. (Ordonnance du 3 octobre 1774)
Ses Tables des constructions des principaux attirails de l'artillerie seront publiées en 1789, et les planches de dessins techniques en 1792.
Il développe le premier système complet d'artillerie française, divisé en artillerie de campagne, de siège, de place et de côte, approuvé par l'ordonnance du 13 août 1765.
Il réorganise le fonctionnement des ateliers où les tables de construction sont combinées avec l’usage d’instruments de contrôle de production, dont il fait distribuer dans chaque fonderie un jeu identique pour chaque type de canon.
C'est à la révolution française que ce principe s'étend et se développe notamment grâce à Honoré Blanc, fabricant de fusils, qui s’est beaucoup investi pour fabriquer des fusils à pièces interchangeables.
Le concept d’interchangeabilité et la première tentative de sa réalisation pour les fusils semblent être nés en France à la fin du XVIIIe siècle,
Mais singulièrement ce sont les américains qui vont s'intéresser à nos travaux de standardisation industriels. Et c'est d'abord Thomas Jefferson alors ambassadeur des Etats-Unis à paris de 1785 à 1789, qui en parla avec enthousiasme à son ami John Jay dès 1785.
C'est en 1893, que W.F. Durfee démontre que les industries américaines ont réalisé concrètement l’interchangeabilité grâce au recours massif aux machines-outils, tours, fraiseuses, rectifieuses . Il considère que l’interchangeabilité en Amérique fut atteinte pour la première fois par Eli Whitney, qui fabriqua et livra dix mille fusils commandés en 1798 par le gouvernement fédéral.
En France cette recherche de l'interchangeabilité s’achèvera, à la fin du XIXe siècle, avec le fusil Lebel, usiné avec des machines-outils américaines.
Quelque dates symbole
1790, l’Assemblée nationale constituante, décide la création d'un système de mesure cohérent et homogène.
1793 c’est finalement la dix-millionième partie d'un quart de méridien qui est choisie pour la définition du mètre.
7 avril 1795 adoption, par la Convention nationale, du système métrique alors désigné par le sigle MKpS.
ISO (International Organization for Standardization) créé en 1947
Mes sources :
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_Fran%C3%A7ois_de_Choiseul
http://fr.wikipedia.org/wiki/Boulet
http://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Jefferson
http://basart.artillerie.asso.fr/article.php3?id_article=175%22,%20target=%22_blank%22%22%3EChapitre%202%20:%20De%20Louis%20XIV%20%E0%20l%27Empire.%20%3C/a%3E
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Norme_ISO
DU CONCEPT D’INTERCHANGEABILITÉ À SA RÉALISATION
Le fusil des XVIIIe et XIXesiècles.
Je sais je digresse un peu.
Salutations cordiales.
Valoris
Petite histoire des tentatives de rationalisation et de standardisation des moyens de production dans l'industrie.
Depuis la nuit des temps le moteur du progrès de bien des sociétés est lié à la fabrication des armes. D'abord pour se nourrir, arme de chasse, ensuite pour se protéger, détournement des armes de chasse, puis enfin pour conquérir de nouveaux territoires.
En France la première réelle rationalisation et standardisation des moyens de production quasi industriels est conçu à l'initiative du sieur, Jean-Baptiste Vaquette de Gribeauval, en 1764.
Où nommé inspecteur de l'artillerie, promu lieutenant général par le marquis de Choiseul, alors premier ministre de Louis XV, il participe, dès 1765, à la modernisation du corps de l’artillerie.
Il fait éprouver à Strasbourg des pièces légères de bataille et démontre qu'elles durent aussi longtemps et ont des portées identiques aux lourdes pièces de l'ancienne ordonnance de 1732 du général Jean-Florent de Vallière.
Gribeauval s’attache à rationaliser l'artillerie à la rendre à la fois plus mobile et facilement réparable par l'interchangeabilité des pièces.
Par ses travaux de rationalisation des dimensions, des tolérances, et l'utilisation d'instruments de précision et de gabarits de contrôle pour la réception des pièces, Gribeauval, peut être considéré comme le père du contrôle qualité moderne. (Ordonnance du 3 octobre 1774)
Ses Tables des constructions des principaux attirails de l'artillerie seront publiées en 1789, et les planches de dessins techniques en 1792.
Il développe le premier système complet d'artillerie française, divisé en artillerie de campagne, de siège, de place et de côte, approuvé par l'ordonnance du 13 août 1765.
Il réorganise le fonctionnement des ateliers où les tables de construction sont combinées avec l’usage d’instruments de contrôle de production, dont il fait distribuer dans chaque fonderie un jeu identique pour chaque type de canon.
C'est à la révolution française que ce principe s'étend et se développe notamment grâce à Honoré Blanc, fabricant de fusils, qui s’est beaucoup investi pour fabriquer des fusils à pièces interchangeables.
Le concept d’interchangeabilité et la première tentative de sa réalisation pour les fusils semblent être nés en France à la fin du XVIIIe siècle,
Mais singulièrement ce sont les américains qui vont s'intéresser à nos travaux de standardisation industriels. Et c'est d'abord Thomas Jefferson alors ambassadeur des Etats-Unis à paris de 1785 à 1789, qui en parla avec enthousiasme à son ami John Jay dès 1785.
C'est en 1893, que W.F. Durfee démontre que les industries américaines ont réalisé concrètement l’interchangeabilité grâce au recours massif aux machines-outils, tours, fraiseuses, rectifieuses . Il considère que l’interchangeabilité en Amérique fut atteinte pour la première fois par Eli Whitney, qui fabriqua et livra dix mille fusils commandés en 1798 par le gouvernement fédéral.
En France cette recherche de l'interchangeabilité s’achèvera, à la fin du XIXe siècle, avec le fusil Lebel, usiné avec des machines-outils américaines.
Quelque dates symbole
1790, l’Assemblée nationale constituante, décide la création d'un système de mesure cohérent et homogène.
1793 c’est finalement la dix-millionième partie d'un quart de méridien qui est choisie pour la définition du mètre.
7 avril 1795 adoption, par la Convention nationale, du système métrique alors désigné par le sigle MKpS.
ISO (International Organization for Standardization) créé en 1947
Mes sources :
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_Fran%C3%A7ois_de_Choiseul
http://fr.wikipedia.org/wiki/Boulet
http://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Jefferson
http://basart.artillerie.asso.fr/article.php3?id_article=175%22,%20target=%22_blank%22%22%3EChapitre%202%20:%20De%20Louis%20XIV%20%E0%20l%27Empire.%20%3C/a%3E
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Norme_ISO
DU CONCEPT D’INTERCHANGEABILITÉ À SA RÉALISATION
Le fusil des XVIIIe et XIXesiècles.
Je sais je digresse un peu.
Salutations cordiales.
Valoris
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J
JeanYves
Compagnon
Bonjour ,
Oui , tu digresses un peu mais l'aspect historique est interessant aussi
Pour en revenir aux tampons , il n'y a pas que les tampons mini-maxi ou entre et entre -pas , qui servent en ateliers d'usinage pour savoir si les tolerances sont respectées .
il y a aussi les tampons lisses qui constituent des boites , dont leur Ø est progressif de 0.01 en 0.01 qui sont appellés "piges" quand ils sont de petit diametre et qui sont plutot utilisées en salle de metrologie pour la validation de tete de serie et autres mesures ponctuelles .
http://someco.pro/someco.fr/client/document/46_300.pdf?PHPSESSID=8f79adb50e24369285d6fbcb57da3a67
Oui , tu digresses un peu mais l'aspect historique est interessant aussi
Pour en revenir aux tampons , il n'y a pas que les tampons mini-maxi ou entre et entre -pas , qui servent en ateliers d'usinage pour savoir si les tolerances sont respectées .
il y a aussi les tampons lisses qui constituent des boites , dont leur Ø est progressif de 0.01 en 0.01 qui sont appellés "piges" quand ils sont de petit diametre et qui sont plutot utilisées en salle de metrologie pour la validation de tete de serie et autres mesures ponctuelles .
http://someco.pro/someco.fr/client/document/46_300.pdf?PHPSESSID=8f79adb50e24369285d6fbcb57da3a67
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P
pierrepmx
Compagnon
Salut,
je pense que la "digression" de Valloris oublie les anglais.
Il est vrai que les canons de Gribeauval furent souvent dirigés vers eux...
je pense que la "digression"
de Valloris oublie les anglais.Il est vrai que les canons de Gribeauval furent souvent dirigés vers eux...
J
JeanYves
Compagnon
Bsr ,
Enfin , ces instruments de métrologie ne sont pas reservés à la fabrication d'armement .
Quelquesoit la nature des produits fabriqués , dans une entreprise de mécanique structurée , la production en petite ou grande serie exige souvent des outils specifiques pour la qualité des produits fabriques .
Des outils necessaires à l'usinage , comme au controle sont à prevoir , eventuellement à fabriquer , à verifier , à gérér .
La production de pièce unitaire est un peu differente , puisque réalisé par du personnel qualifié qui generalement utilise le materiel classique standard .
Enfin , ces instruments de métrologie ne sont pas reservés à la fabrication d'armement .
Quelquesoit la nature des produits fabriqués , dans une entreprise de mécanique structurée , la production en petite ou grande serie exige souvent des outils specifiques pour la qualité des produits fabriques .
Des outils necessaires à l'usinage , comme au controle sont à prevoir , eventuellement à fabriquer , à verifier , à gérér .
La production de pièce unitaire est un peu differente , puisque réalisé par du personnel qualifié qui generalement utilise le materiel classique standard .
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