L
Louviau123
Apprenti
Bonjour,
On part des rouleaux de papier A4. soit 21 cm de large ; les confettis : 8 mm de diamètre ; soit 26 poinçons.
Les poinçons coulissent dans un bloc d’acier et sont ramenés chacun vers le haut par un ressort. Dans ce bloc d’acier on a donc 26 trous en trois rangs décalés de 8 mm distants de 16 mm l’un de l’autre, ce qui laisse de la place pour les ressorts et la clavette sur les poinçons (même système que sur les soupapes de moteur). Sous ce bloc d’acier, un autre blocs percés de trous correspondants aux poinçons. Ces trous ont un diamètre de 8mm + un fifrelin sur 2 mm et ensuite 10 mm sur le reste de la hauteur du bloc. Ces 2 blocs sont boulonnés ensembles avec entre eux deux cales de l’épaisseur du papier + un autre fifrelin. Le papier passe entre les blocs et ces deux cales. Ces blocs sont boulonnés au bâti de la machine. De chaque côté des blocs il y a une glissière verticale sur lesquelles coulisse un bloc d’acier qui vient appuyer sur les têtes des poinçons, ce bloc est mû verticalement de quelques mm par un ou deux excentriques sur un axe horizontal. La difficulté principale (pour moi) c’est l’avancement du papier qui doit se faire par à coup pendant que les poinçons sont relevés. On doit pousser le papier sous les poinçons (après, il ne reste plus grand chose de la feuille). On peut utiliser des rouleaux de machine à écrire (ils ont la bonne largeur.) et un système à croix de malte sur l’arbre de l’excentrique ou récupérer le système à cliquet de la machine à écrire.
L’ensemble ne doit pas forcément tourner à la vitesse d’un mitrailleuse, on a toujours quelques mois entre l’utilisation des confettis.
A+
Eric
On part des rouleaux de papier A4. soit 21 cm de large ; les confettis : 8 mm de diamètre ; soit 26 poinçons.
Les poinçons coulissent dans un bloc d’acier et sont ramenés chacun vers le haut par un ressort. Dans ce bloc d’acier on a donc 26 trous en trois rangs décalés de 8 mm distants de 16 mm l’un de l’autre, ce qui laisse de la place pour les ressorts et la clavette sur les poinçons (même système que sur les soupapes de moteur). Sous ce bloc d’acier, un autre blocs percés de trous correspondants aux poinçons. Ces trous ont un diamètre de 8mm + un fifrelin sur 2 mm et ensuite 10 mm sur le reste de la hauteur du bloc. Ces 2 blocs sont boulonnés ensembles avec entre eux deux cales de l’épaisseur du papier + un autre fifrelin. Le papier passe entre les blocs et ces deux cales. Ces blocs sont boulonnés au bâti de la machine. De chaque côté des blocs il y a une glissière verticale sur lesquelles coulisse un bloc d’acier qui vient appuyer sur les têtes des poinçons, ce bloc est mû verticalement de quelques mm par un ou deux excentriques sur un axe horizontal. La difficulté principale (pour moi) c’est l’avancement du papier qui doit se faire par à coup pendant que les poinçons sont relevés. On doit pousser le papier sous les poinçons (après, il ne reste plus grand chose de la feuille). On peut utiliser des rouleaux de machine à écrire (ils ont la bonne largeur.) et un système à croix de malte sur l’arbre de l’excentrique ou récupérer le système à cliquet de la machine à écrire.
L’ensemble ne doit pas forcément tourner à la vitesse d’un mitrailleuse, on a toujours quelques mois entre l’utilisation des confettis.
A+
Eric