Commande bouton poussoir et relais

O

osiver

Compagnon
ça commence a être une usine à relais lol
Juste parce que vous n'aviez que des 2RT et des 1T :wink:
Pour le 24V, c'est juste que les contacteurs de puissance sont souvent alimentés comme ça mais le montage peut fonctionner avec du 230V. Au besoin, le relais de commande du contacteur pourra être un 2RT dédié dont on met les deux contacts en série pour tenue en tension.

Au moins ce montage assure qu'en cas de coupure de secteur il n'y aura pas de redémarrage intempestif de la machine :???:
 
K

Karmicael

Apprenti
:eek: 3 semaines pour un télérupteur à 15 euros ??? Je pense qu'il y a un commerce à mettre en route par chez vous, non ???
Un télérupteur basique avec bobine en 220 se trouve chez le grossiste en électricité, pas besoin d'internet pour ça !!! Même à la Réunion !!!
Il faut demander un modèle pour boite de dérivation, il sont plus petit, et normalement, silencieux.
 
S

speedjf37

Compagnon
Bonjour,

marlin974 a dit:
de plus il faudrait que lors de la mise en route de la cnc les contacteurs soient désactivés.

Cela élimine les bistables dont le télérupteur

Cordialement JF
 
J

Jope004

Compagnon
marlin974 a dit:
salut a tous,
je préférerai utiliser ce que je possède déjà
je voudrais commander avec un seul bouton poussoir, (et c'est bien là la difficulté pour moi)
une impulsion : le contacteur s'active
une nouvelle impulsion : le contacteur se désactive
de plus il faudrait que lors de la mise en route de la cnc les contacteurs soient désactivés.
Bonjour,
Ce type de fonctionnement est un cas d'école lors de l'étude des automatismes à base de relais. Sauf la dernière condition pour la mise en route de la cnc.
Il faut un minimum de deux relais ordinaires (monostables) pour réaliser la fonction.
Le défaut de ce type de montage, comme pour le télérupteur d'ailleurs, c'est qu'un rebond sur le BP de commande provoque des allumages extinctions rapides.
C'est ce qui arrive chez moi avec le télérupteur lorsque l'appui sur le BP n'est pas assez franc, et qui me grille prématurément les fluocompactes.
 
A

andre

Apprenti
bonjour
un telerupteur fait ce que tu demandes tu appuie ca marche tu re appui ca coupe
 
A

albatros_del_sur

Compagnon
Jope004 a dit:
Bonjour,
Ce type de fonctionnement est un cas d'école lors de l'étude des automatismes à base de relais. Sauf la dernière condition pour la mise en route de la cnc.
Il faut un minimum de deux relais ordinaires (monostables) pour réaliser la fonction.
Le défaut de ce type de montage, comme pour le télérupteur d'ailleurs, c'est qu'un rebond sur le BP de commande provoque des allumages extinctions rapides.
C'est ce qui arrive chez moi avec le télérupteur lorsque l'appui sur le BP n'est pas assez franc, et qui me grille prématurément les fluocompactes.
Bonjour,
C'est ce qui arrive quand on achète du matériel de mauvaise qualité.
J'en ai une bonne dizaine alignés dans l'armoire électrique, en bientôt 20 ans pas une panne, ni un rebond, et certains sont très sollicités.
 
C

chrisbur99

Apprenti
Pour essayer de répondre au problème posé par Marlin 974 dans le premier message de ce fil :

Du point de vue logique, le circuit équivalent est celui d'une Bascule D (modèle générique pour lycées et collèges).

On peut construire cette bascule avec des portes NAND, ou des relais d'automatismes (si mes souvenirs sont bons, il faut quelque chose comme quatre à six relais, la plupart devant être dotés de 2 jeux de contacts inverseurs, un seul relais pour automatismes peut faire pas mal de choses à lui tout seul, donc dans la version "électromécanique" de la bascule D il faut un peu moins d'opérateurs logiques à base de relais que dans la version à semiconducteurs utilisant des portes NAND)

Cette Bascule D est à câbler en diviseur par deux :

- le signal (déverminé) issu du bouton poussoir serait appliqué à l'entrée CLOCK

La sortie /Q serait rebouclée sur l'entrée D.

Après avoir été correctement formaté - en amplitude, en durée et en polarité - l'évènement logique correspondant à la mise sous tension de la machine serait appliqué à l'entrée RESET de la bascule D (entrée RESET dont on rappelle qu'elle est - par construction - asynchrone)

La sortie Q serait exploitée comme suit (*)

- Q = 0 : état STOP
- Q = 1 : état START

La mise sous tension de la machine active l'entrée RESET et force donc la sortie Q à l'état STOP.


(*) Utilisable pour commander la bobine d'un contacteur = relais de puissance, à commutation rapide


Mais le circuit à base de Bascule D, c'est de la logique réduite à l'épure, un peu trop simple pour être réellement utilisable "tel quel", et pas du tout extensible si d'autres contraintes viennent se greffer en cours de route sur le problème initial : ou alors, on passe en logique synchrone, et avec des relais électromécaniques ça devient une usine à gaz;

A côté de cela :

En automatismes, un bouton-poussoir électromécanique (**) qui n'est pas un BP inverseur est par définition une m...

S'il n'en est pas une tout de suite, il le deviendra en vieillissant (rebonds) : on ne peut pas le déverminer simplement et à coup sûr, contrairement à un BP inverseur qu'on peut déverminer de manière radicale en employant une bascule RS (laquelle peut se construire avec 2 relais, mais ça revient 100 fois plus cher qu'en employant 2 portes NAND style CD4011, 74LS00 ou 74 LS132, par exemple)

(**) contact à ressort

D'un autre côté, les relais monostables et bistables, c'est bien pour des applications ultra-simples, mais ...

En matière de logique à relais, on peut /on doit tout faire (***) avec des relais pourvus d'au moins 2 jeux de contacts inverseurs

(***) même des calculateurs ...

Exemple : la série HY de chez IMO (vendu par Technic Achat) - QUATRE jeux de contacts inverseurs par relais, matériel bon et pas cher, je recommande :

http://www.technic-achat.com/relais-a-embase,fr,3,97.cfm

Autre point

S'agissant d'une CNC, l'application dont on parle souffre à l'évidence ici d'un manque de définition du cahier des charges.

Par exemple, on pourrait se poser des questions du genre :

- c'est quoi, le "démarrage" du système, c'est quoi, "l'extinction" du système ?
- y a t-il démarrage progressif, une séquence de démarrage bien précise ?
- faut-il prévoir un arrêt progressif (shutdown) - une séquence d'arrêt bien précise (c'est à dire ici : décomposable en étapes bien définies)
- et quelle conduite tenir si le secteur a le "hoquet" - par exemple : coupure d'une seconde, ou d'une demi-seconde, puis le 230V revient plein pot ?

Ceci pour dire que si ça commence par de la logique à relais (****), ça risque fort de se terminer par la mise en place d'un petit automate programmable, surtout s'il faut introduire une, deux, puis trois temporisations dans le système... In fine avec un petit automate de rien du tout (PLC) ça coûtera moins cher, globalement ça risque de fonctionner mieux.

(****) logique asynchrone qui plus est, donc : impossible à étendre au delà d'un certain point de complexité, sauf en employant des ruses d'indien et en y passant des nuits blanches ...
 
M

marlin974

Ouvrier
salut a tous,
merci pour vos réponses,
j'ai trouver la solution (enfin) en me basant sur le précédant schéma posté,
j'ai temporisé la fermeture avec un condo, ca marche nickel ! :supz:

14090209191617534412495783.jpg

la solution electronique est interessante, mais j'ai pu utiliser les relais que je possedais.
 

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